Le 31 mai 2022, Marlène est devenue maman d'un petit garçon prénommé Sandro. Après s'être confiée sur son accouchement, la candidate de Mariés au premier regard 2019 (M6) fait quelques confidences sur sa nouvelle vie à Purepeople.
Vous avez révélé que Sébastien et vous aviez appelé votre fils Sandro. Comment ce prénom s'est-il imposé à vous ?
On ne sait plus (rires). Avec Seb, on n'était pas du tout d'accord sur les prénoms. J'aime bien ceux qui sont un peu nouveaux et lui ceux qui sont un peu anciens. On ne savait plus quoi faire. J'ai pris toutes les applications de prénoms et le dictionnaire des prénoms aussi. J'ai ensuite noté sur une application les prénoms qui nous plaisaient à tous les deux. On aimait bien Gabriel, mais on trouvait que c'était trop courant, Liam et Sandro. Mais je ne me rappelle plus où est-ce qu'on a vu ce prénom. Sandro on aimait bien parce que ça faisait méditerranéen et on a des origines méditerranéennes tous les deux. On a regardé l'origine du prénom et j'ai bien aimé sa signification aussi. En plus Sandro Serrano, ça faisait beau, donc on est partis sur ce prénom-là. Nous nous sommes décidés deux ou trois mois avant la fin de la grossesse.
Comptez-vous dévoiler un jour le visage de votre fils ?
Pour l'instant, on ne veut pas le montrer. On trouve qu'il est encore trop petit. Mais on n'est pas fermé sur le sujet. Je pense qu'on verra en temps et en heure, selon nos envies.
Comment s'est passée votre première semaine avec votre bébé ?
Depuis qu'on est rentré à la maison, ça se passe super bien. En plus Seb a pu prendre son congé paternité. Il a vingt-huit jours donc c'est cool. Il bosse un peu, mais à distance, donc ça permet de partager des moments à trois, c'est chouette. C'est vraiment un père attentionné. On a trouvé nos marques assez facilement, ça s'est fait naturellement. Comme je suis assistante maternelle depuis huit ans, je n'avais pas trop d'appréhensions. J'ai l'habitude, même si c'est toujours différent avec son propre enfant. Et Seb a déjà une fille qui aura bientôt 11 ans, donc il connaissait la paternité. En plus, on a la chance d'avoir un bébé qui ne pleure quasiment pas. Et il fait déjà ses nuits. Cette nuit, il a dormi de 00h à 6h. On n'en revenait pas.
Comment vous organisez-vous avec Sébastien ?
C'est un peu selon nos envies. S'il y en a un qui a envie de changer la couche ou de le prendre, il le fait. On communique beaucoup. Je laisse beaucoup Seb faire aussi parce que je pense que c'est important de laisser de la place au papa. On s'est plus organisé pour la nuit. En général, Seb lui donne le dernier biberon à minuit et moi je m'en occupe s'il se réveille la nuit. Et Seb prend le biberon du matin. Comme ça chacun peut dormir au mieux.
Comment gérez-vous la fatigue ?
Pour l'instant ça va, je ne suis pas trop fatiguée. J'étais plus fatiguée quand j'étais enceinte parce que vers la fin de la grossesse, ça commençait à être lourd avec les grosses chaleurs. J'avais beaucoup de rétention d'eau. Et quand on se tourne, on a l'impression qu'il faut une grue pour y arriver. Je faisais des insomnies aussi. Mais depuis qu'il est là, je rattrape mon sommeil. Pourvu que ça dure (rires).
Quelle genre de maman serez-vous ?
Une maman plutôt cool j'espère, avec laquelle mon fils pourra partager plein de choses. Je suis hyper contente de pouvoir le garder. Comme je suis assistante maternelle, je vais pouvoir l'avoir avec moi avec le petit que je gardais déjà, à partir de septembre. Je suis contente de me dire que je n'ai pas besoin de le confier à quelqu'un. Je vais pouvoir le voir grandir et il pourra quand même créer des liens avec d'autres enfants. C'est important pour avoir plus de facilité au moment de l'entrée à l'école.
Avez-vous des angoisses ?
On a tous des angoisses, encore plus quand on devient mère. Ma plus grande peur c'est la mort subite du nourrisson. On a été sensibilisés là-dessus en tant qu'assistantes maternelles. On nous a appris les gestes à adopter pour que ça n'arrive pas. C'est comme les gestes de premiers secours. Chaque parent devrait avoir une formation, c'est hyper important. Quand on devient mère, on est responsable d'un petit être et on veut qu'il ne lui arrive rien.
Sébastien était déjà papa d'une petite fille. Comment a-t-elle accueilli son petit frère ?
Ça se passe très bien. Elle est hyper contente d'avoir un petit frère. Elle avait hâte que j'accouche et depuis que Sandro est là, elle nous aide à lui donner le biberon ou joue avec lui. C'est trop mignon. On a à coeur de l'investir aussi dans notre famille pour qu'elle se sente à l'aise.
Avec Sébastien, vous avez emménagé ensemble à Nice. Avez-vous eu des mauvaises surprises au début de votre cohabitation ?
On se connaissait bien, mais c'est vrai qu'on ne connaît pas vraiment la personne tant qu'on ne vit pas avec. On s'entend très bien et l'avantage qu'on a, c'est qu'on communique sur tout. On arrive facilement à parler de nos émotions, c'est ce qui fait que notre couple est solide. Après, comme la plupart des nanas, je fais plus à la maison que Seb. Mais j'ai de la chance, il m'aide quand même beaucoup. Et il a un travail hyper prenant entre la radio et le reste.
Un bébé peut fragiliser un couple. En avez-vous parlé ?
Pas forcément. On sait que ça peut fragiliser un couple, donc mieux vaut qu'il soit solide avant de se lancer. Et c'est notre cas, donc on n'a pas peur. On a entièrement confiance l'un en l'autre. Je sais que c'est un super père, parce que je l'ai vu faire avec sa fille. Et je le vois faire avec Sandro, il est trop mignon. Et si un jour quelque chose ne va pas, on pourra en parler.
Vous vous êtes pacsés en 2020. Songez-vous au mariage ?
Ah, moi j'aimerais bien. Me marier avec un mec que je connais ça changerait (rires). C'est dans nos projets, mais notre projet pour le moment serait plutôt d'acheter. Mais sur la région, c'est plutôt compliqué de trouver quelque chose dans notre budget. Pourquoi pas se marier ensuite.
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