Le 16 septembre 2021, Nathalie Marquay a sorti son livre Moi, j'y crois - Mes anges, mes guides, mes prémonitions..., aux éditions Guy Trédaniel. Après avoir accordé des interviews, notamment à Gala, elle a réalisé un live sur la page officielle de l'éditeur, l'occasion de faire de nouvelles révélations.
Dans son ouvrage, l'épouse de Jean-Pierre Pernaut évoque notamment ses rêves prémonitoires. En sont ressorties les dates exactes de la mort de son jardinier ou celle du frère de son mari. Miss France 1987 ressent également des choses. Elle a notamment "senti" que l'ex-présentateur du 13h de TF1 avait des soucis de santé. Son don lui a aussi permis de se sauver la vie : alors qu'elle était en voyage en Martinique en 1997, elle a compris qu'elle était malade. Elle a donc vu huit médecins qui lui ont diagnostiqué la dengue. Mais au bout de huit jours, elle n'était pas bien du tout et sentait qu'elle allait mourir...
Nathalie Marquay s'est rendue à l'église pour parler à "l'âme de sa grand-mère". Elle pressentait une "tumeur à la tête ou une leucémie" et a demandé à sa regrettée mamie de l'aider. "J'ai pleuré pendant une heure", a-t-elle précisé. En sortant, elle est tombée sur la pancarte d'un médecin. Elle y a vu là un signe et s'y est donc rendue. Il était étonné qu'elle tienne debout avec 41 de fièvre et "même pas 6 de tension". Il l'a donc envoyée faire des analyses et quand les résultats sont arrivés, le docteur "s'est demandé comment cela se faisait [qu'elle] était encore vivante" : "Je serais restée une heure chez moi ou une demi-journée, j'étais morte", a poursuivi la maman de Lou (18 ans) et Tom (17 ans).
Nathalie Marquay a donc rapidement été rapatriée en France afin de se soigner. Des signes, elle en a aussi eu ensuite à l'hôpital. "Quand vous avez une leucémie, vous êtes obligé de faire une greffe de la moelle. Dix professeurs sont rentrés dans ma chambre et m'ont dit que j'allais devoir en faire une, mais sachant que mon frère et ma soeur n'étaient pas compatibles, il fallait chercher un donneur. Ils m'ont aussi annoncé que ça rendait stérile", a-t-elle poursuivi.
Souhaitant devenir mère, elle refusait de subir l'opération contre l'avis des médecins ou de ses proches. "Si vous enlevez mon but et ma force qui est d'avoir des enfants, je vais partir ! Vous n'avez pas le droit de m'enlever ça ! Comme je suis majeure, je peux vous signer une décharge", leur a-t-elle dit. Fort heureusement, un professeur l'a écoutée et a fini par la soigner. Un miracle qui lui a permis de devenir quelques années plus tard une maman comblée.