Nawell Madani violemment critiquée pour sa série, réaction inattendue d'une candidate de télé-réalité

Mise en ligne sur Netflix le 7 avril 2023, la série Jusqu'ici tout va bien ne reçoit pas que de jolies critiques. Nawell Madani, qui a écrit les huit épisodes, qui en a réalisé quatre et qui joue dedans auprès de son compagnon Djebril Zonga ne vit pas forcément bien les polémiques qui gravitent autour de ce programme, si cher à son coeur. Pourtant, elle vient de recevoir le soutien assez inattendu... d'une candidate de télé-réalité. Et pas n'importe laquelle.

Il s'agit de Milla Jasmine, Marie Germain de son vrai nom, personnage emblématique des Princes de l'amour, des Anges, Apprentis aventuriers et autres dérivés types Les cinquante. Suivie par 3,2 millions de personnes sur Instagram, la jeune femme de 33 ans a tenu à prendre la défense de Nawell Madani tout en dégustant un plat de spaghetti, parce que pourquoi pas. Cette vidéo a été relayée, sur les réseaux sociaux par l'humoriste, réalisatrice et comédienne, qui découvre visiblement l'existence de Milla et le précise d'un : "Merci et enchantée".

Rien que pour ça, respect

"Moi personnellement j'ai trop kiffé. Je ne veux rien savoir, fâchez-vous comme vous voulez, je m'en fous, a expliqué Milla Jasmine. Je trouve que son parcours est vraiment remarquable. C'est quand même le rêve d'une vie de se dire un jour j'aurai ma propre série Netflix. Et elle, elle a réussi à le faire. Rien que pour ça, respect. Je n'ai pas arrêté de voir des polémiques, ils n'ont pas arrêté de la critiquer, mais moi je trouve ça trop bien déjà par rapport à ce qu'elle a réussi à faire. Et pourtant je ne la connais pas. Quand on voit son parcours, de là où elle a commencé et là où elle est aujourd'hui, en tant que femme, moi je ne peux qu'être admirative."

Voilà qui doit mettre un peu de baume au coeur de Nawell Madani. La maman de Lou avait les larmes aux yeux, quelques jours plus tôt, en se rendant sur le plateau de l'émission Clique, face à Mouloud Achour. Elle regrettait, notamment, qu'on l'accuse de répandre des "préjugés culturels" et de "stigmatiser davantage"...