Philippe Lellouche papa : ses enfants sont des "ingrats" et c'est une bonne nouvelle d'après lui

Un message envoyé à ses enfants ? Philippe Lellouche a répondu aux questions de Karine Joncas et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il a gardé son franc-parler. Papa de quatre enfants : Solal (2003) et Sharlie, (2011) - dont la mère est Vanessa Demouy - d'une petite fille née en 2018 qu'il a eue avec sa compagne actuelle Vanessa Boisjean, et de Sam (1995) - issu d'une précédente relation -, le papa trouve que ses enfants sont de parfaits ingrats et il s'en réjouit !

"Je vois mes enfants, des fois ils n'appellent pas pendant une semaine. En fait, ils sont ingrats quoi. Tu te dis : 'Merde on a été les mettre dans des écoles privées, on a payé des fortunes... ils s'en foutent'. Il n'y a pas 'un merci papa !'", a-t-il déclaré. Et à la journaliste de lui rappeler que tous ces investissements pour ses enfants ont été ses choix et pas les leurs.

Conscient que tout cela est bien vrai, Philippe Lellouche a alors nuancé : "Surtout c'est normal et en fait si tu t'es comporté normalement, ils seront ingrats et donc il faut bénir le ciel qu'ils soient ingrats."

La suite après la publicité

Enclin à la confidence, le frère de Gilles Lellouche a aussi évoqué la première fois qu'il est devenu père, un moment d'une intense émotion : "J'étais en larmes. J'ai la larme facile. Je suis très émotif. Et je me suis dit : 'Voilà ce petit bonhomme-là, c'est moi qui vais être responsable de toute sa vie.' Il compte sur moi quoi. J'ai eu cette réaction là pour les quatre. Je me suis dit 'wow, comment je vais pouvoir aimer plus que ça si j'ai un deuxième enfant, comment je vais faire ?' Et c'est là qu'on se rend compte que le coeur est merveilleusement fait car l'amour ça ne se divise pas." Philippe Lellouche aime donc ses ingrats d'enfants de façon équitable !

Et pour eux, il a pris soin de faire en sorte que les ruptures avec les mamans se passent bien. Avec Vanessa Demouy, Philippe Lellouche avait décidé de tout dire à leurs enfants : "Nous avons préféré leur parler, leur dire la vérité. Leur réac­tion a été assez mature. J'ai l'im­pres­sion qu'ils ont bien accepté le choc, même si on ne le saura vrai­ment que dans quelques années. J'ai fait en sorte qu'ils rencontrent une ou deux fois un psy, histoire qu'ils puissent s'ex­pri­mer libre­ment", avait en effet expliqué son ex. Un autre investissement pour leurs enfants qui seront peut-être reconnaissants dans quelques années !