Ricardo Pinto est actuellement au coeur d'un scandale. Sollicité pour faire la promotion d'un site de rencontres appelé Feezly, le candidat des Anges 8 a été accusé d'avoir empoché l'argent d'autres candidats – auxquels l'entreprise en question a également fait appel – et de ne pas vouloir le rendre. Des accusations auxquelles le petit ami de Nehuda n'a pas manqué de répondre sans détour lors d'un entretien accordé au magazine Public (en kiosques ce vendredi 5 août 2016).
"Je n'ai volé personne. J'ai reçu un virement de 11 280 euros sur mon compte d'une société avec laquelle j'ai signé un contrat en bonne et due forme. (...). La prestation devait s'étaler sur douze mois et me rapporter 19 000 euros en tout. Mais peu après la signature du contrat et le versement de cet acompte, la société a changé d'avis et m'a demandé de rendre l'argent", a assuré Ricardo Pinto, avant d'expliquer que Feezly avait prétexté une erreur de comptabilité afin de lui réclamer la somme qu'il avait perçue.
Une demande à laquelle Ricardo ne souhaite pas accéder, assurant que la somme en question est écrite noire sur blanc sur son contrat. "Mon avocat m'interdit de transmettre mon contrat. Il sera remis à la justice qui tranchera", a-t-il ensuite déclaré. Et de préciser que cette affaire sera portée devant les tribunaux : "J'ai porté plainte et j'ai fourni des documents : les preuves des menaces de mort et des tentatives d'intimidation dont je fais l'objet. Je laisse aux tribunaux compétents le soin de trancher."
En effet, à la suite de la révélation de cette affaire, l'ex-petit ami de Fidji a reçu des appels malveillants et craint pour sa sécurité : "J'ai reçu beaucoup d'appels et de messages malveillants. Je suis même menacé de mort ! Un soir, une voiture aux vitres teintées pleine d'individus menaçants attendait en bas de chez moi. J'ai dû me cacher pour ma sécurité et celle de ma compagne."
Il n'a jamais été question de 19 000 euros
Pour sa part, l'éditeur de l'application de rencontres Feezly s'est dit "effaré" et accuse Ricardo de chercher "à faire le buzz", ainsi que de vouloir "nuire à l'image" de la société. "Il n'a jamais été question de 19 000 euros. Ce projet a été abandonné car Ricardo Pinto n'a pas de statut légal. Le contrat de 600 euros a été annulé, mais nous reconnaissons cette malencontreuse erreur comptable", a-t-il conclu.
Affaire à suivre...