Parti le 23 avril dernier, Thomas Pesquet n'en finit plus de faire le buzz à bord de la station spatiale ! Entre une première rencontre musicale avec le groupe Coldplay ou un échange très amusant avec le cinéaste Alexandre Astier, l'astronaute française de 43 ans trouve le temps de publier de sublimes photos de notre Terre, mais surtout de remplir sa mission. Avec près de 10 heures de travail par jour, on se demande bien comment il fait pour tenir ce rythme infernal ! En tout cas, une chose est sûre, ces six mois dans l'espace, nourrit (très bien d'ailleurs) et loger, devrait lui permettre de rentrer chez lui avec une coquette somme.
Loin de ses proches et notamment de sa femme, Anne, qui a déjà trouvé un moyen de le remplacer, Thomas Pesquet jouit néanmoins d'un salaire très confortable si l'on en croit les informations sorties par Midi Libre le 5 mai dernier. En effet, selon la grille salariale de l'Agence spatiale européenne (ESA), Thomas Pesquet appartient grade A4 dans la grille de rémunérations, correspondant aux astronautes ayant déjà effectué un voyage dans l'espace. Pour ce grade, un astronaute perçoit un salaire net compris entre 8 886,75 € et 9 778,49 € par mois, la différence se faisant entre un fonctionnaire sans enfants ou avec enfants. Sachant que Thomas Pesquet n'est pas marié et n'a pas d'enfant avec Anne Mottet, il doit probablement être dans la fourchette basse. On peut donc estimer que pour ses six mois en orbite, celui qui a livré plusieurs conseils utiles pendant le confinement, devrait toucher au minimum 53 320 € !
Une très belle somme, mais surtout une deuxième expérience unique dans l'espace pour Thomas Pesquet, qui n'hésite pas à partager des moments de vie avec ses très nombreux abonnés sur les réseaux sociaux, que ce soit sur Twitter ou Instagram. Parti après des adieux déchirants avec sa femme, le français a quitté la Terre à bord de la capsule Crew Dragon, construite par l'entreprise SpaceX, appartenant au milliardaire sud-africain Elon Musk. Si tout se passe comme prévu, il devrait être de retour chez nous fin octobre.