Hospitalisée après la révélations de Closer sur la relation qu'entretient son compagnon François Hollande avec Julie Gayet, Valérie Trierweiler n'est toujours pas sortie de la Pitié-Salpêtrière où elle a été admise il y a bientôt une semaine. Son état de santé ne le lui permet toujours pas...
Alors que le Canard Enchaîné affirmait qu'elle avait fait une crise de nerfs, RTL révèle qu'il n'en est rien, une information confirmée à la radio par les proches de Valérie Trierweiler. "Pour autant, son état est fragile puisqu'elle ne tient pas debout", précise le site Internet de la radio. Toujours selon son "cercle le plus rapproché", la journaliste s'est "effondrée" lorsque le président lui a fait état de sa relation avec Julie Gayet. Valérie Trierweiler, déjà dans "un état de grande fatigue" depuis plusieurs mois, n'a pas supporté physiquement ces révélations, ce qui a conduit à son hospitalisation.
Selon Europe 1, la compagne - officielle - de François Hollande devrait rester hospitalisée encore plusieurs jours, RTL précisant que sa tension était toujours basse. De quoi couper court aux rumeurs qui voulaient qu'elle aie été admise pour faire pression sur le président, peu de temps avant son intervention publique lors de ses voeux à la presse le 14 janvier dernier. Europe 1, qui cite des proches de la journaliste de Paris Match qui ont pu lui parler, évoque une "Valérie Trierweiler (...) dans un état de fatigue nerveuse extrême, fait de hauts et de bas". Autour d'elle, des amis, journalistes, devant lesquels elle s'interroge sur l'identité de celui qui aurait eu intérêt à dévoiler cette affaire, faisant ressurgir le spectre de ceux dans l'entourage du président qui voyaient d'un mauvais oeil son arrivée à l'Élysée.
Déterminée ou abattue, Valérie Trierweiler offre deux visages à ceux qui viennent lui rendre visite. Des proches dont ne fait pas partie François Hollande, qui n'a toujours pas mis les pieds à la Pitié-Salpêtrière, avance Europe 1 qui cite un proche de la première dame. Le coup est rude, tout comme le peu d'égard montré par le chef de l'État lors de son allocution de mardi dernier qui aurait terriblement touché Valérie Trierweiler. Dans les couloirs de l'Élysée, même si, officiellement, le mot d'ordre est silenzio stampa, on ne cache pas que l'affaire Hollande-Gayet occupe tous les esprits. "Ici, personne n'en parle mais tout le monde y pense. Il faut que le président se décide très vite", explique un proche à Europe 1.
Et François Hollande devrait se décider avant sa visite aux États-Unis prévue le 11 février prochain. Si l'on en croit les proches de Valérie Trierweiler, celle-ci serait prête à pardonner à son compagnon, même si "elle s'est pris un TGV dans le buffet" en apprenant la nouvelle de la bouche du président lui-même, le jeudi 9 janvier, veille de la publication des photos dans Closer. Le Point, qui relate la suite de cette terrible annonce où François Hollande "s'est montré froid, implacable", raconte que Valérie Trierweiler, sonnée, serait rentrée chez elle et aurait pris "quelques cachets". Le lendemain au réveil, ses messageries sont pleines et la journaliste, isolée, vidée, seule, demande son hospitalisation. "Elle a juste pris une pilule de trop", raconte un de ses proches au Point. Très loin de la tentative de suicide un temps colportée par la rumeur, ou encore de la crise de nerfs évoquées par le Canard...