Lors de son lancement en 2001, la Star Academy a rendu célèbre le château de Dammarie-les-Lys. En effet, plusieurs saisons du célèbre concours de chant de TF1 ont été tournées sur place. A l'exception des huitième et neuvième éditions lorsque les élèves ont respectivement posé bagages à l'Hôtel de Brossier à Paris et au Château de la Geneste à Châteaufort. Aujourd'hui, le château de Dammarie-les-Lys est devenu emblématique de l'émission. Et pourtant, il n'appartient pas à la production, ni même à TF1. Un homme célèbre y a même vécu durant des années !
C'est ce qu'il affirme sur le plateau de Quelle époque !, samedi 30 mars 2024 sur France 2. Il s'agit de François Sureau, membre de l'Académie française. Tout a commencé par une blague de Paul de Saint-Sernin. "Vous dites académicien depuis tout à l'heure. Je suis jeune, je n'ai pas tout suivi. C'était quelle saison de la Star Ac ?", balance l'humoriste. C'est alors que l'invité de Léa Salamé révèle une information inattendue : "Je ne regarde pas la Star Ac pour une raison très simple : pendant cinq saisons, le château a été ma maison familiale que nous avons dû vendre après ruine." C'est alors que cette sublime demeure s'est mise à accueillir des apprentis chanteurs de saison en saison. Un crève-coeur pour certains membres de la famille, et François Sureau a même veillé à ce que l'information n'arrive jamais aux oreilles de son père, mourant à l'époque : "J'ai évité de montrer à mon père, à la fin de sa vie, ce qu'était devenu le château de la famille. Depuis, je ne regarde plus la Star Ac."
La belle bâtisse récemment rénovée n'appartient plus à la famille de François Sureau. En effet, c'est désormais l'homme d'affaires français Jean-Michel Pontet qui en est le propriétaire. Et il compte bien le rester ! En octobre dernier, alors que nos confrères du Parisien avaient révélé que le célèbre château de Dammarie-les-Lys, également appelé des Vives-Eaux, était mis en vente aux enchères par la banque Axa au prix de 700 000 euros, il avait bondi. "Ni la visite, ni la vente n'auront lieu. Il existe une procédure juridique pour stopper tout cela. Je vous le garantis à 100%", avait-il ainsi déclaré à nos confrères. Force est de constater qu'il avait raison puisque six mois plus tard, il en est toujours le propriétaire.