Le 22 mars 2013, Anna Mouglalis épousait, sublime, un homme d'affaires australien, Vincent Rae. Amoureux et radieux, les deux mariés fêtaient leur union dans les rues pittoresques de Saint-Paul-de-Vence (Provence-Alpes-Côte d'Azur). Habillée d'une robe Chanel, Anna Mouglalis était absolument ravissante.
Quelques mois plus tard, l'amour passionnel a laissé place à la séparation. Coup de tonnerre. Discrète et mystérieuse sur sa vie privée, c'est pourtant une Anna Mouglalis libérée qui s'en explique dans les colonnes de Grazia. Directe et franche, l'actrice de 35 ans ne cache rien : "J'ai rencontré un homme qui rêvait de se marier, et je trouvais ça amusant, mais je n'ai jamais caché le fait que pour moi, le mariage ne représentait rien." Et de poursuivre : "D'ailleurs, c'est fini, ça a duré quatre mois." Avec une pointe d'ironie, l'incendiaire Anna Mouglalis s'amuse de sa situation, "comme quoi, il ne faut surtout pas faire rentrer l'État dans son lit".
Pour autant, Anna Mouglalis n'est pas encore divorcée. L'actrice de J'ai toujours rêvé d'être un gangster (film de Samuel Benchetrit, son ex et papa de sa fille Saül, 7 ans) et de Coco Chanel et Igor Stravinsky assure que Vincent Rae "ne veut pas signer les papiers" et ne masque pas son incompréhension devant cette situation bloquée. "Ce truc de penser que parce qu'on a dit oui à la mairie, on appartient à quelqu'un, c'est délirant", affirme-t-elle. Avant d'ironiser à nouveau : "Moi, j'ai même proposé une fête. Pourquoi ne pas célébrer le divorce ?"
De quoi raviver sa flamme pour Samuel Benchetrit, avec qui elle formait un très beau couple ? "C'est le père de ma fille, c'est impossible autrement. Je le respecte et je l'admire comme artiste, et je l'aime comme personne. On retravaillera ensemble, c'est sûr. Ce qui a fait notre histoire, c'est notre complicité, on a toujours tout mélangé dans une joyeuse improvisation. C'est ma famille, Samuel", assure Anna Mouglalis, qui vient de présenter Un Voyage, dernier long métrage de Samuel Benchetrit. Une mise au point, un poil rock'n'roll, mais nécessaire.