Chaque soir dans le Grand Journal de Cannes, Ariane Massenet seconde Michel Denisot pour interviewer les plus grandes stars de la Croisette. Grande habituée du Festival, elle nous confie quelques-uns de ses secrets pour tenir le coup pendant la Quinzaine.
Vous sentez-vous à la maison à Cannes ?
Depuis le temps que je viens, c'est vrai que je me sens un peu chez moi. Même si j'ai eu un peu la poisse cette année car j'ai commencé par perdre ma valise. En arrivant à l'aéroport de Nice, je ne l'ai pas vue sur le tapis roulant. Il a fallu que je me débrouille sans mes affaires jusqu'à ce qu'on la retrouve et qu'on me la livre le lendemain. Et à Cannes, ce n'est pas une mince affaire !
Quel est votre kit de survie cannois ?
Du Guronsan, des vitamines, du Citrate de bétaïne et de l'Efferalgan ! C'est indispensable ! Mais le vrai secret, c'est de choisir une bonne paire de chaussures avant même d'arriver ici. Une paire dont on sait qu'on va pouvoir marcher avec, sans trop souffrir en arpentant les kilomètres de Croisette quotidiennement.
Quel est votre souvenir le plus impérissable du Festival ?
Cannes, c'est un rêve de petite fille. Parmi mes plus beaux souvenirs, il y a la fois où j'avais donné une petite caméra à Steven Spielberg pour qu'il filme Harrisson Ford sur le plateau du Grand Journal. Ou celle où j'ai fait jouer de la clarinette à Woody Allen. Ou quand nous avons tous dansé avec Quentin Tarantino venu présenter Inglorious Basterds. Il y en a tellement que je ne saurai pas choisir. Chaque année, Cannes compte son lot de souvenirs exceptionnels.
P.L.