Carole Bouquet à bout : Ce qu'elle avalait par "4 paquets" pour aller mieux

Comédienne de renom en plus d'être une maman et une grand-mère comblée, Carole Bouquet s'est prêtée au jeu des confidences dans les colonnes de Paris Match ce jeudi 5 septembre 2024. Décortiquant sa carrière ou même sa vie privée, l'actrice a accepté de se mettre à nu. Si tout semble lui sourire, un incident survenu en 2013 a considérablement impacté son quotidien.

Au sein de sa propriété sur l'île de Pantelleria, au large de la Sicile, l'ex-compagne de Gérard Depardieu a été victime d'une vilaine chute qui lui a causé bien du tracas. Depuis, la maman de Louis et Dimitri souffre de douleurs neurologiques. A son grand dam, l'ancienne belle-mère de Charlotte Casiraghi doit constamment prendre sur elle. Même au travail ! Que ce soit face caméra ou sur les planches.

Face à la joie des spectateurs, tout allait bien

"J'ai eu mal en jouant Bérénice", a reconnu Carole Bouquet. "Je m'avalais près de quatre paquets de chewing-gums, après la pièce, pour récupérer un peu de salive. Mais j'avoue qu'au moment des saluts, face à la joie des spectateurs, tout allait bien". L'artiste de 67 ans pensait avoir trouvé un parfait remède... En vain.

Il n'existe pas de produit miracle pour calmer mes maux

"Au début, j'avais moins mal en nageant, mais à force le cerveau s'habitue et la douleur revient doucement", a regretté la principale intéressée. "Il n'existe pas de produit miracle pour calmer mes maux. Ils ont trouvé une machine que l'on pose sur le front et qui ressemble à un troisième oeil. Elle agit environ une heure, créant des périodes de soupape".

Loin de la France, Carole Bouquet s'est également lancée dans l'industrie du vin. Vigneronne passionnée depuis plus de vingt ans, la star s'est brillamment fait un nom dans le monde des gastronomes. "On a toujours besoin d'encouragement. On ne s'improvise pas vigneronne et l'idée est née sur un coup de tête", a avoué Carole Bouquet. "Mais une fois qu'on m'a affirmé que je n'y arriveras pas, j'ai voulu prouver le contraire (...). Faire du vin n'est pas mon métier mais j'y suis extrêmement attachée et y renoncer m'arracherait le coeur".