Depuis bientôt un an, Clémence Botino est la fiancée des Français. Venue tout droit de Guadeloupe, elle a été élue parmi trente candidates pour sa beauté, son dévouement pour les causes qui lui tiennent à coeur mais... pas pour sa façon de conduire. Et pour cause, la jolie jeune femme n'est pas une as du volant, comme elle s'en amuse dans le nouveau numéro de Paris Match.
Elle ne s'en cache pas, elle a "eu plus de difficultés à obtenir (son) permis qu'à devenir Miss France". Et pour cause, la reine de beauté de 23 ans a confié avoir finalement réussi à décrocher son permis, au bout de la quatrième tentative... "Le permis, je l'ai loupé trois fois : la première pour un stop glissé, la deuxième par manque d'assurance, et la troisième pour avoir emprunté un sens interdit... Mais sur ce coup j'ai une excuse : la végétation masquait le panneau", révèle-t-elle.
Qu'à cela ne tienne, Clémence Botino ne ressent pas tellement le besoin de conduire depuis qu'elle s'est installée dans la capitale. D'ailleurs, elle n'en a pas tellement eu l'opportunité non plus. "Depuis trois ans que j'ai quitté mon île pour vivre à Paris, je n'ai conduit que pour un aller-retour à Deauville avec mes dauphines au volant de la Peugeot 5008 de Sylvie Tellier", a-t-elle fait savoir dans les pages du magazine.
Qu'elle sache passer les vitesses ou non, Clémence Botino est en tout cas très appréciée du public. Une aubaine pour la brunette qui n'a pas vécu un règne des plus faciles. L'épidémie de coronavirus l'a contrainte à mettre entre parenthèses son rôle d'ambassadrice mais ce n'est pas tout, elle a également eu une belle frayeur en juillet dernier, lorsque son immeuble a été en proie aux flammes. En attendant les pompiers, Clémence a même songé à sauter dans le vide... Heureusement, tout est désormais derrière elle et la Guadeloupéenne a pu poursuivre ses activités de Miss France. Dans deux mois, le 12 décembre 2020, elle devra remettre sa couronne à celle qui lui succèdera.