Coleen Rooney et les infidélités de Wayne : ''On a vécu des moments difficiles''

C'est l'une des premières wags à avoir fait la une des tabloïds anglais. Depuis 2008, Coleen Rooney vit avec le statut de femme de Wayne Rooney, l'attaquant-vedette de Manchester United et de l'équipe d'Angleterre. Une vie sous le feu des projecteurs parfois compliquée à gérer et sur laquelle la maman de deux garçons est revenue dans une interview au DailyMail où elle n'a pas hésité à évoquer les infidélités passées du footballeur, étalées dans la presse il y a quelques années...

Les scandales sexuels sont derrière elle. A 29 ans, Coleen Rooney n'apparaît plus dans les tabloïds anglais qu'en tant que mère de famille modèle, et non plus comme une femme trompée. Elle aurait pourtant pu quitter Wayne, mais les épreuves ont finalement renforcé leur amour. Son secret pour protéger son couple ? "Il n'y en a pas", répond-elle, avant d'admettre que le couple a eu "des hauts et des bas." "Ca a été dur parfois mais on a eu aussi plein de bons moments", ajoute la plus célèbre des wags, en couple avec le footballeur depuis ses 16 ans.

Des moments difficiles et très embarrassants, il y en a notamment eu deux. En 2004, Wayne Rooney s'excuse ainsi publiquement après avoir trompé Coleen avec des prostituées. Même chose en 2010 alors que celle qui est devenue son épouse deux ans plus tôt et est enceinte. A chaque fois, elle a pardonné, protégeant une famille désormais unie comme jamais. "On a grandi et on est plus raisonnables maintenant, dit celle qui a également créé une ligne de vêtements. On a toujours les mêmes amis, avec lesquels on sort, et on revient là où on a grandi régulièrement."

Coleen Rooney décrit ainsi leur vie de famille comme "plutôt normale" et "aisée" avec leurs deux enfants, Kai (5 ans) et Klay (1 an). Deux garçons - le premier commence à taper sérieusement la balle - qui commencent à devenir des "fous" de foot, selon maman, et reconnaissent leur père à la télévision. En attendant peut-être de suivre ses traces dans le foot... mais surtout pas dans les tabloïds.