Le 13 mars dernier, à Lyon, EnjoyPhoenix, accompagnée de sa soeur Juliette et de sa belle-mère, organisait un vide-dressing dans le but de récolter de l'argent pour une association. Un événement qui a viré au cauchemar pour la jeune blogueuse. Elle raconte en détail sur sa chaîne YouTube ce qu'il s'est passé.
"On s'est retrouvé avec presque 1000 personnes et les gens ne sont pas venus pour le vide-dressing mais pour faire des photos. C'était pas cool", déclare celle qui a participé à Danse avec les stars 6.
Sa petite soeur Juliette raconte ensuite face à la caméra le moment où elle s'est fait insulter : "Je suis allée dans la queue pour dire que tout le monde ne pourrait pas rentrer. J'étais en train de filmer et une maman m'a dit : 'Au lieu de faire ta petite p*** avec ton appareil photo, fais-moi rentrer avec ma fille'." Juliette révèle également avoir été poussée par des fans au point de se blesser un doigt.
Reprenant la parole, EnjoyPhoenix a ensuite raconté le cauchemar qu'elle a vécu. "Moi, je suis sortie pour faire un coucou, j'avais des chocolats à la main afin de m'excuser et toute la queue a commencé à me courir dessus. J'étais en train d'expliquer un truc sérieux, qu'on n'était pas là pour faire des photos et qu'il fallait se respecter car il y avait des filles qui se faisaient marcher dessus, cracher dessus, tirer les cheveux... Et là, tout le monde est arrivé et a commencé à me prendre en photo comme si j'étais un animal dans un zoo. J'étais en train de faire une minicrise de panique et je me suis mise à pleurer", raconte-t-elle, encore émue. Déçue de la tournure qu'on pris les événements, EnjoyPhoenix n'a ensuite pas caché avoir été très choquée de voir la réaction de ses fans face à ses larmes : "Les gens me filmaient en train de pleurer. Je ne comprends pas."
Assurant que c'en était fini pour elle, des vide-dressing, la jeune femme de 20 ans a également insisté sur le fait que ce sont pas ses fans et abonnés qui se sont le plus mal comportés mais leurs mères : "Clémentine s'est fait insulter de tous les noms par des mamans qui n'étaient pas contentes parce qu'elles faisaient la queue ! Des mères frappaient à la porte à 17h alors qu'on devait rendre la salle."
"J'ai fait deux crises de panique, je ne pouvais plus respirer. Je n'ai pris aucun plaisir au final. Et que l'on traite ma soeur de 'petite p***' alors qu'on essaie de vous faire passer un bon moment, c'est trop !", conclut-elle.