EXCLU Koh-Lanta 2024 - On n'a rien vu à la télé mais la gagnante Léa n'est pas rentrée indemne de l'aventure

Elle était plutôt discrète en début d'aventure avant de finalement se révéler au fil des semaines. Léa a su se frayer un chemin jusqu'à la grande finale de Koh-Lanta, Les Chasseurs d'immunité. Mardi 4 juin 2024, elle a même été sacrée gagnante du jeu. Explosion de joie pour la brunette qui était déjà très fière de sa victoire sur les poteaux. Mais avant cela, elle a passé 40 jours dans des conditions difficiles, en pleine jungle. Et forcément, cela laisse des traces. Auprès de Purepeople.com, Léa revient sur les conséquences visibles de cette expérience.

Si Aurélien a souffert de "pulsions boulimiques" et que Jean a été recadré par sa compagne à propos de son obsession pour l'alimentation, Léa indique qu'elle n'a rien subi de tout cela. "Parce que dans ma tête, je m'étais formatée, je savais qu'on allait rentrer et retrouver notre vie donc qu'on allait manger. Alors j'ai essayé de faire attention", nous a-t-elle expliqué. Toutefois, passer autant de temps sans s'alimenter correctement n'est pas anodin... "Mais ce qui est sûr c'est qu'on est tous rentrés avec des carences, regrette Léa. Moi j'ai perdu beaucoup de cheveux."

Et ce n'est pas tout. Celle qui a choisi Meïssa pour l'accompagner face au jury final a été confrontée à une situation particulière : "J'ai pris une tasse de café, je me suis cognée et j'ai perdu ma dent !" Et d'en dire un peu plus sur cet accident dentaire : "C'est un petit bout qui s'est cassé, on m'a mis une résine qui est blanche comme ma dent, de près ça se voit mais à la télé ça ne devait pas se voir." Pas de quoi inquiéter Léa qui savait déjà à quoi s'attendre en participant au célèbre jeu de survie. "C'est les conséquences de Koh-Lanta, on en est conscient. On perd du poids mais aussi de l'énergie, le fer, tout ça... Ça a eu un impact mais on a eu le temps de s'en remettre, c'était l'année dernière et puis après on est très suivis. Donc ça va très bien", conclut-elle. Plus de peur que de mal, ouf !

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