Difficile de garder des relations complices avec ses ex. Harry Styles, par exemple, n'est pas devenu le meilleur ami de Camille Rowe depuis leur rupture en 2018. Il a même évoqué cette relation dans son dernier opus sorti en décembre dernier, notamment dans le titre Cherry – dans lequel on peut entendre la voix de la belle actrice. Mais a-t-elle vraiment apprécié ce petit clin d'oeil ? "Ça me donne envie d'écrire un album et de dire : 'Voilà ma version.' Dans dix ans, ça sera drôle, mais, pour le moment, c'est surtout envahissant", explique-t-elle dans les colonnes du magazine Paris Match.
Harry Styles et Camille Rowe n'ont jamais vraiment confirmé qu'ils avaient été ensemble. Et pourtant, la jeune femme de 34 ans a évoqué cette idylle secrète avec une simplicité désarmante, précisant qu'elle n'avait pas été toute rose pour elle. "Tout à coup, on me portait beaucoup d'attention pour toutes les mauvaises raisons." La bonne nouvelle, c'est qu'elle est largement passée à autre chose. Depuis un an et demi, elle file le parfait amour avec Theo Niarchos, marchant d'art et petit-fils de Stavros Niarchos. "Nous sommes amis depuis longtemps, raconte-t-elle. Quand je ne travaille pas, je cuisine, je me balade et mon mec m'emmène voir des expos." D'amour et d'eau fraîche...
Appel du pied d'Harry Styles dans le titre "Cherry"
"Coucou ! Tu dors ? Oh, je suis désolée... Bah non... Non ce n'est pas important. On a été à la plage... Parfait", entend-on à la fin du titre Cherry. Cette voix, en français dans le texte, c'est celle de Camille Rowe. Comme l'a expliqué Harry Styles, il lui a demandé son autorisation avant de mêler leurs voix : "Je voulais que ça reflète mon état d'esprit à ce moment-là. Je ne me sentais pas bien. Ça n'évoque que le fait de ne pas aller bien. Parce que vous devenez mesquin quand les choses ne se passent pas comme vous le voulez. Certaines parties sont si pathétiques", avait-il déclaré lors de la promotion de l'album.
Retrouvez l'interview intégrale de Camille Rowe dans le magazine Paris Match, numéro 3689, du 16 janvier 2020.