Jacques Chirac© Angeli
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Les nouvelles sont difficiles pour Jacques Chirac, endeuillé par la mort de l'homme politique Philippe Séguin, le 7 janvier. L'ancien président de la République fait face à l'affaire des emplois présumés fictifs de la Mairie de Paris durant son mandat et sera jugé du 8 novembre au 8 décembre 2010 par le tribunal correctionnal de Paris, selon une information annoncée en exclusivité par le JDD.fr.
Un as des affaires juridico-politiques mènera la danse, indique le site Internet : "Dominique Pauthe, le magistrat qui vient de juger Dominique de Villepin dans l'affaire Clearstream, présidera les débats." Personnalité populaire dans le coeur des Français, Jacques Chirac a vécu une fin d'année houleuse avec son renvoi au tribunal correctionnel annoncé à la fin du mois d'octobre 2009.
En effet, Xavière Siméoni, juge d'instruction, avait renvoyé devant le tribunal de grande instance de Paris Jacques Chirac ainsi que neuf autres personnes pour 21 supposés emplois fictifs sur les 481 emplois examinés par la justice. Jugé pour "détournement de fonds publics" et "abus de confiance", il encourt 10 ans de prison et une amende de 150 000 euros. Premier ancien président à être mis en examen et désormais le premier a être renvoyé en correctionnelle, il a également été mis en examen en décembre pour "prise illégale d'intérêts" dans l'affaire des sept emplois fictifs de l'ex-RPR, au TGI de Nanterre. Bernadette Chirac avait quant à elle exprimé son émotion, clamant l'honnêté de son époux. Affaire à suivre...
Un as des affaires juridico-politiques mènera la danse, indique le site Internet : "Dominique Pauthe, le magistrat qui vient de juger Dominique de Villepin dans l'affaire Clearstream, présidera les débats." Personnalité populaire dans le coeur des Français, Jacques Chirac a vécu une fin d'année houleuse avec son renvoi au tribunal correctionnel annoncé à la fin du mois d'octobre 2009.
En effet, Xavière Siméoni, juge d'instruction, avait renvoyé devant le tribunal de grande instance de Paris Jacques Chirac ainsi que neuf autres personnes pour 21 supposés emplois fictifs sur les 481 emplois examinés par la justice. Jugé pour "détournement de fonds publics" et "abus de confiance", il encourt 10 ans de prison et une amende de 150 000 euros. Premier ancien président à être mis en examen et désormais le premier a être renvoyé en correctionnelle, il a également été mis en examen en décembre pour "prise illégale d'intérêts" dans l'affaire des sept emplois fictifs de l'ex-RPR, au TGI de Nanterre. Bernadette Chirac avait quant à elle exprimé son émotion, clamant l'honnêté de son époux. Affaire à suivre...