Certains artistes n’ont besoin de sortir qu’une seule chanson (ou du moins de n’en faire connaître qu’une) pour vivre confortablement grâce à elle. C’est le cas de nombreuses personnalités à l’image de Patrick Hernandez et de son mythique Born to be Alive. Dans le même genre, la chanson Freed from Desire, interprétée par Gala, est aussi une mine d’or puisque vendu à plusieurs millions d’exemplaires au moment de sa sortie.
Sorti en 1997, le tube a fait le tour du monde et ne cesse de rythmer les événements sportifs. Rugby, football, handball... Un air entraînant, des paroles qui restent en tête : le cocktail est idéal pour faire rentrer la chanson dans l’Histoire et faire de son interprète une star richissime. Ce qui n’est pourtant pas le cas.
Dans un entretien accordé à Paris Match et dévoilé ce dimanche 6 avril, Gala a témoigné face caméra pour revenir sur le succès rencontré par sa chanson et expliqué la raison pour laquelle elle ne la met pas à l’abri financièrement. Comme elle l’a fait savoir, Gala Rizzatto a été arnaquée pendant 30 ans, indiquant avoir signé “un mauvais contrat avec un producteur” : “J’ai signé un contrat outrageusement injuste […] Je n’étais pas stupide, j’étais ignorante." Ce contrat lui a fait perdre les droits de la chanson, qu’elle tente de récupérer depuis 2023.
En attendant, celle qui indiquait être en couple avec un homme vivant en France ne se retrouve pas à la rue mais n’a pas d’adresse à elle pour autant. Comme elle l’indique, elle loue des chambres chez des amis à elle qui acceptent de l’héberger dans le quartier de Brooklyn à New York. Un quotidien “assez difficile” qui, on l’espère pour elle, sera très vite derrière elle pour enfin profiter de la vie.