Il y a déjà vingt ans, TF1 lançait la toute première saison de la Star Academy. Une merveilleuse aventure qui s'est par la suite déclinée sur plusieurs années, jusqu'en 2008. Pour fêter ce grand anniversaire comme il se doit, la première chaîne a mis en boîte trois primes réunissant des candidats issus de toutes les éditions confondues ainsi que les professeurs qui les ont accompagnés. Lors de la première émission diffusée samedi 30 octobre 2021, Nikos Aliagas a notamment reçu sur son plateau Jenifer, très émue en revoyant des images, Jean-Pascal Lacoste ou encore Armande Altaï et Kamel Ouali. Les téléspectateurs s'attendaient également à prendre des nouvelles de Raphaëlle Ricci, mais la prof' d'expression scénique a préféré décliner l'invitation.
Son absence a alors suscité de nombreuses réactions sur les réseaux sociaux, auxquelles à répondu la principale intéressée en story Instagram. Cette dernière a souhaité mettre les choses au clair. "Juste en passant, mais alors très vite fait parce que je me suis déjà exprimée sur le sujet... et surtout avant que certains racontent n'importe quoi à ma place. Si je n'ai pas souhaité aller sur les primes des 20 ans de la Star Academy, ce n'est pas parce que je suis aigrie, ce n'est pas parce que je crache dans la soupe, ce n'est pas parce que je renie 6 ans de ma vie et ce n'est pas non plus parce que je suis fâchée avec qui que ce soit... non, rien de tout ça et rien de croustillant à donner comme raison, j'ai juste tourné la page !", a-t-elle expliqué. Et de conclure : "Je pense que c'est assez clair et simple à comprendre."
Il faut dire que la coach de 53 ans a mis du temps à la tourner cette page. Et pour cause, comme elle le révélait en mai 2020 lors d'un live, Raphaëlle Ricci a très mal vécu ses années Star Ac'. "Pour les gens, j'étais une professeur très très méchante. J'ai reçu des menaces. Au fil des ans, cette émission avait pris tellement d'ampleur, médiatiquement parlant, que ça a été super compliqué à gérer", se souvenait-elle, indiquant notamment avoir reçu des "crottes de chiens" dans sa boîte aux lettres. Des attaques ciblées qui l'ont poussée à mettre un terme à son aventure. "J'ai dit stop. J'ai dit que ce n'était pas possible pour moi d'envisager que des gens puissent avoir envie de me tuer. Ils ne seraient certainement pas passés à l'acte mais quand la production décide de te mettre des gardes du corps à disposition 24 heures sur 24 c'est que ça devait être grave."