Félicien Taris avait fait le show dans Loft Story en 2002. Et bien des années plus tard, en 2017, l'interprète du tube Cum-Cum-mania s'est reconverti dans la restauration et a ouvert O'Fam, un établissement proposant des tapas à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine). Déjà fragilisé par la crise sanitaire liée au Covid-19, le commerce risque encore pire, la fermeture administrative. Auprès de nos confrères du Parisien, l'ancien candidat de télé-réalité s'agace.
Depuis la réouverture post-confinement de son restaurant, plus précisément de la terrasse, Félicien Taris dit être victime de contrôles de police bien trop nombreux à son goût. "La rue piétonne et toutes les autres terrasses ont beau être bondées, ils viennent directement chez moi, m'expliquant que ce sont mes clients qui font trop de bruit", s'énerve-t-il. Un coup de gueule qui survient quelques jours après la réception d'un courrier de la préfecture des Hauts-de-Seine lui indiquant qu'il risquait la fermeture administrative pouvant aller jusqu'à deux mois. "Cela fait suite à un contrôle effectué le 17 juin. Ce soir-là, les policiers nationaux sont venus à 21h25, sur réquisition, m'ont-ils dit", lance Félicien qui avoue s'être un peu accroché avec les agents après qu'on lui a dit qu'il pouvait "retourner faire de la télé-réalité" s'il n'était pas content.
Félicien Taris et son restaurant O'Fam est dans le viseur de la mairie qui pointe du doigt de "nombreuses petites infractions à répétition". "Le succès de monsieur Taris est indéniable, mais cela ne lui donne pas davantage de droits, explique la ville. Nous allons essayer de tout faire pour trouver une solution, mais nous serons intransigeants sur le respect des règles pour la tranquillité des riverains." Rappelons qu'en juin dernier déjà, l'acolyte de Kamel Djibaoui et Marlène Duval dans le Loft s'était déjà insurgé de l'amende qu'il avait reçue. "Nous sortons d'une période où tout le monde applaudissait entre voisins aux balcons, et là je me fais emm... dès la réouverture de ma terrasse. Je n'ai eu droit à aucun répit post-épidémie. Ça va être la guerre, les nouvelles terrasses à Paris, avec le bruit et les tapages nocturnes, ça va cogner !", avait-il lâché auprès de Capital.
Aux dernières nouvelles, Félicien Taris sera reçu aux services de la préfecture en fin de semaine afin de se défendre et plaider sa cause.