Gérard Rinaldi et sa bien-aimée Ginette en 2009 à Paris© BestImage
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C'est au mois de mars dernier que le monde du spectacle a appris avec tristesse la disparition à l'âge de 69 ans de l'artiste Gérard Rinaldi, des suites d'un lymphome. Quelques mois plus tard, sa veuve Ginette Rinaldi a accepté de se confier à France Dimanche. L'occasion pour elle de rendre hommage à l'homme qu'elle aimait.
Cinq mois après le décès de Gérard Rinaldi, sa bien-aimée, Ginette, déclare : "C'est encore très difficile pour moi. Après trente-sept ans de vie commune, je pense que je ne ferai jamais le deuil de mon mari. C'était un époux idéal. [...] Valérie Mairesse, avec qui Gérard a maintes fois tourné, m'a dit récemment une phrase que je n'oublierai jamais : 'Ginette, on cherchait tous notre Gérard...' J'ai trouvé cela très joli." De belles déclarations que Ginette fait en l'honneur d'un homme qu'elle décrit comme extraordinaire. "Même si j'ai été longtemps l'assistante de son producteur, je pense que j'avais l'avantage d'être assez différente des gens qu'il côtoyait dans son milieu. On partageait surtout les mêmes valeurs."
A travers cet entretien, Ginette Rinaldi tient à montrer qu'en dehors des caméras, il n'était pas l'homme cabotin que connaît le grand public. Bien qu'il n'ait jamais renié le début de sa carrière avec les Charlots : "Il disait souvent qu'il ne regrettait pas d'avoir été un jeune con, mais qu'il ne voulait surtout pas devenir un vieux con." Il adorait les sciences, une passion qu'il partageait avec sa fille. Dans son album posthume, on retrouve une chanson qu'il a dédiée à cette enfant très aimée. En effet, l'acteur et chanteur avait commencé l'enregistrement d'un album chez Sony Music, désormais dans les bacs et comportant 17 reprises du répertoire français qu'il affectionnait particulièrement, dont Syracuse, Douce France et Félicie aussi.
Les obsèques du héros de Marc et Sophie se sont déroulées dans la plus stricte intimité, comme le souhaitaient le comédien et Ginette : "Nous en avions discuté trois jours avant son départ. Cela n'a pas empêché que l'on organise une deuxième cérémonie, au théâtre de la Michodière, avec tous ceux qui désiraient lui rendre hommage. [...] Avec tous les talents qu'il avait, il est le seul artiste que je connaisse qui n'ait jamais touché l'argent des Assedic."
A présent, Ginette Rinaldi souhaite perpétuer la mémoire de l'homme de sa vie. Elle espère ainsi qu'une pièce qu'il a écrite sera montée un jour. De plus, elle a également l'intention d'écrire un livre dans lequel elle évoquerait la vraie nature de Gérard. "Quelqu'un d'exceptionnel..."
Retrouvez l'intégralité de l'entretien dans le magazine France Dimanche du 3 août.
Cinq mois après le décès de Gérard Rinaldi, sa bien-aimée, Ginette, déclare : "C'est encore très difficile pour moi. Après trente-sept ans de vie commune, je pense que je ne ferai jamais le deuil de mon mari. C'était un époux idéal. [...] Valérie Mairesse, avec qui Gérard a maintes fois tourné, m'a dit récemment une phrase que je n'oublierai jamais : 'Ginette, on cherchait tous notre Gérard...' J'ai trouvé cela très joli." De belles déclarations que Ginette fait en l'honneur d'un homme qu'elle décrit comme extraordinaire. "Même si j'ai été longtemps l'assistante de son producteur, je pense que j'avais l'avantage d'être assez différente des gens qu'il côtoyait dans son milieu. On partageait surtout les mêmes valeurs."
A travers cet entretien, Ginette Rinaldi tient à montrer qu'en dehors des caméras, il n'était pas l'homme cabotin que connaît le grand public. Bien qu'il n'ait jamais renié le début de sa carrière avec les Charlots : "Il disait souvent qu'il ne regrettait pas d'avoir été un jeune con, mais qu'il ne voulait surtout pas devenir un vieux con." Il adorait les sciences, une passion qu'il partageait avec sa fille. Dans son album posthume, on retrouve une chanson qu'il a dédiée à cette enfant très aimée. En effet, l'acteur et chanteur avait commencé l'enregistrement d'un album chez Sony Music, désormais dans les bacs et comportant 17 reprises du répertoire français qu'il affectionnait particulièrement, dont Syracuse, Douce France et Félicie aussi.
Les obsèques du héros de Marc et Sophie se sont déroulées dans la plus stricte intimité, comme le souhaitaient le comédien et Ginette : "Nous en avions discuté trois jours avant son départ. Cela n'a pas empêché que l'on organise une deuxième cérémonie, au théâtre de la Michodière, avec tous ceux qui désiraient lui rendre hommage. [...] Avec tous les talents qu'il avait, il est le seul artiste que je connaisse qui n'ait jamais touché l'argent des Assedic."
A présent, Ginette Rinaldi souhaite perpétuer la mémoire de l'homme de sa vie. Elle espère ainsi qu'une pièce qu'il a écrite sera montée un jour. De plus, elle a également l'intention d'écrire un livre dans lequel elle évoquerait la vraie nature de Gérard. "Quelqu'un d'exceptionnel..."
Retrouvez l'intégralité de l'entretien dans le magazine France Dimanche du 3 août.