Nabilla a beau être suivie par plusieurs millions d'abonnés, ces derniers ne sont pas toujours tendres à son égard. Une petite phrase peut parfois lui causer une avalanche d'attaques sur les réseaux sociaux. Elle l'a encore malheureusement constaté il y quelques semaines après avoir évoqué le conflit israélo-palestinien. "On a menacé ma famille de mort, même mon fils !", déplorait-elle. Des attaques qui peuvent être sévèrement punies par la loi depuis 2018. Le procès des cyberharceleurs de Mila symbolise cette lutte et rappelle que des condamnations sont bel et bien possibles. Chose qu'a à son tour rappelé Nabilla.
"J'ai vu un truc génial. Le cyber-harcèlement est puni. Vous savez les mauvais commentaires, les insultes... Donc, injures c'est 12 000 euros d'amende, parce que maintenant ils retrouvent les personnes avec leur adresse IP, et ça peut aller jusqu'à deux ans d'emprisonnement. Pour tout ce qui est injures, insultes, menaces... etc. Et ça c'est génial en fait que le gouvernement passe la vitesse grand V, pour pouvoir justement retracer toutes ces personnes qui harcèlent les gens en ligne", s'est-elle réjouie sur Snapchat, vendredi 4 juin 2021.
Ainsi, la femme de Thomas Vergara n'hésitera plus à se défendre. "Il suffit simplement d'avoir un bon avocat, ce qui est mon cas. Et tout simplement, après on lance une procédure, les adresses IP sont retrouvées et à six heures du matin vous avez la police qui débarque chez vous pour vous interpeller. Et après vous avez l'immense amende à payer et la prison. C'est très cool, j'avais envie de partager ça parce qu'être influenceur c'est top, on partage des choses. Mais combien de fois on se fait insulter, juger etc. Donc là il va y avoir du changement !", a-t-elle promis bien heureuse. Les haters n'ont qu'à bien se tenir !