De très rares confidences sur ceux qui la rendent heureuse ! Dans la lumière depuis une dizaine d'années désormais, et notamment depuis sa participation à l'émission On ne demande qu'à en rire de Laurent Ruquier, Nora Hamzawi a fait le choix de garder pour elle celui qui partage sa vie depuis de nombreuses années et leur fils, né en 2017.
Un choix parfait pour son équilibre, mais qui ne l'a pas empêchée ce lundi 19 novembre de se livrer sur eux dans une interview à nos confrères de Version Femina, à l'occasion de la promotion de son nouveau spectacle aux Folies Bergères. Des confessions en toute sincérité sur l'évolution de son couple avec les années et les changements de la société.
"Personnellement, lorsque j'ai rencontré mon homme, il y a quinze ans, j'avais le syndrome de l'abandon : la question n'était pas de savoir si j'étais heureuse en amour ou non, mais de ne surtout pas me faire larguer. Aujourd'hui, le pauvre, il se retrouve avec une femme qui remet totalement en question le couple et qui lui assure qu'à tout moment elle peut le quitter !", a-t-elle notamment expliqué avec humour, racontant que son nouveau spectacle, en plus d'apporter de la joie pour ne plus "voir [s]on mec déprimé", avait également des réflexions féministes.
Un féminisme important pour elle, et qu'elle voudrait comme "une réconciliation joyeuse entre les femmes et les hommes" et qu'elle porte en elle depuis longtemps. A travers ses spectacles, mais également ses films, qu'elle choisit soigneusement et qui évoquent souvent des combats capitaux pour elle. Dans quelques semaines, c'est le film CE2 de Jacques Doillon (dans la tourmente actuellement) qui lui tiendra notamment très à coeur à cause de son petit garçon, dont elle n'a jamais dévoilé le prénom.
"C'est un film que nous avons tourné il y a cinq ans avec un tout petit budget. J'incarne la mère d'une jeune victime de harcèlement scolaire et, à la lecture du scénario, cette histoire m'avait particulièrement touchée parce qu'elle faisait écho à un problème grave qui venait de se dérouler dans l'école maternelle de mon fils. Je trouvais important de raconter cette histoire aux jeunes", a-t-elle justifié. Et on a hâte de la retrouver !