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Vendredi 5 septembre, Patrick Bruel créait l'événement avec le premier de ses deux concerts organisés dans l'enceinte du prestigieux Stade Pierre Mauroy de Villeneuve-d'Ascq (dans l'agglomération lilloise), retransmis en direct sur TF1. Devant 25 000 personnes survoltées, majoritairement des trentenaires et des quadragénaires, bercés par la Bruelmania dans les années 90, l'artiste avait convié quelques-uns de ses amis artistes à l'accompagner sur scène le temps d'une chanson, un moment unique dans une carrière. Jean-Louis Aubert pour Temps à nouveau, Florent Pagny, son ami de trente ans, avec Pour la vie, mais aussi Véronique Sanson... Ou, plus audacieux, Marre de cette nana-là avec Michael Youn, d'ailleurs recruté par TF1 pour squatter les coulisses.
Généreux comme à son habitude, Patrick Bruel a pris le temps de se positionner comme militant pour la paix... Rebondissant sur les paroles du tube Alors regarde, dans laquelle il chante "Tu verras tout ce qu'on peut faire si on est deux", il en a profité pour délivrer face aux téléspectateurs et à son public un message de paix entre les peuples.
"La paix se fait à deux. L'acceptation de l'autre, la tolérance et le retour du vivre ensemble. Lequel de toi, lequel de moi, aura l'audace de voir en l'autre, autre chose qu'une menace ?", déclare-t-il avec une émotion très vive dans la voix, et déclenchant une salve d'acclamations du public. S'ensuit une série de moments marquants de l'histoire, des poignées de mains entre de grands hommes (Nelson Mandela et Frederik de Klerk, Mikhaïl Gorbatchev et Ronald Reagan, Barack Obama et Fidel Castro, Bill Clinton et Boris Eltsine, etc.) en préambule du titre Lequel de nous interprété en duo avec la chanteuse Indila.
Une séquence qui fut l'un des temps fort d'un concert de près de deux heures trente au cours duquel l'artiste aux 14 millions de disques vendus a repris ses plus grands succès : Place des grands hommes, Casser la voix, J'te l'dis quand même, Alors regarde, J'm'attendais pas à toi, ou encore Le Café des Délices.
A la sortie, le public est enchanté, les yeux pleins d'étoiles. Sur Twitter, les téléspectateurs partagent, en temps réel, leur joie de vivre ce concert comme s'ils y étaient : plus de 4,5 millions (23% de PDA) de Français s'étaient réunis devant TF1 pour assister à ce show mythique, tandis que les scores de visionnages en replay explosent depuis hier. Et visiblement, la presse aussi est conquise : "Patrick Bruel traverse les époques en jouant ses classiques, marie son timbre avec ceux de ses invités pour trouver la grâce", écrivent nos confrères de La Voix du Nord.
Patrick Bruel donnera un ultime concert au Stade Pierre Mauroy ce samedi 6 septembre devant une audience assurément tout aussi déchaînée, avant un passage très attendu au mythique Royal Albert Hall à Londres, le 22 septembre prochain.
Joachim Ohnona
Généreux comme à son habitude, Patrick Bruel a pris le temps de se positionner comme militant pour la paix... Rebondissant sur les paroles du tube Alors regarde, dans laquelle il chante "Tu verras tout ce qu'on peut faire si on est deux", il en a profité pour délivrer face aux téléspectateurs et à son public un message de paix entre les peuples.
"La paix se fait à deux. L'acceptation de l'autre, la tolérance et le retour du vivre ensemble. Lequel de toi, lequel de moi, aura l'audace de voir en l'autre, autre chose qu'une menace ?", déclare-t-il avec une émotion très vive dans la voix, et déclenchant une salve d'acclamations du public. S'ensuit une série de moments marquants de l'histoire, des poignées de mains entre de grands hommes (Nelson Mandela et Frederik de Klerk, Mikhaïl Gorbatchev et Ronald Reagan, Barack Obama et Fidel Castro, Bill Clinton et Boris Eltsine, etc.) en préambule du titre Lequel de nous interprété en duo avec la chanteuse Indila.
Une séquence qui fut l'un des temps fort d'un concert de près de deux heures trente au cours duquel l'artiste aux 14 millions de disques vendus a repris ses plus grands succès : Place des grands hommes, Casser la voix, J'te l'dis quand même, Alors regarde, J'm'attendais pas à toi, ou encore Le Café des Délices.
A la sortie, le public est enchanté, les yeux pleins d'étoiles. Sur Twitter, les téléspectateurs partagent, en temps réel, leur joie de vivre ce concert comme s'ils y étaient : plus de 4,5 millions (23% de PDA) de Français s'étaient réunis devant TF1 pour assister à ce show mythique, tandis que les scores de visionnages en replay explosent depuis hier. Et visiblement, la presse aussi est conquise : "Patrick Bruel traverse les époques en jouant ses classiques, marie son timbre avec ceux de ses invités pour trouver la grâce", écrivent nos confrères de La Voix du Nord.
Patrick Bruel donnera un ultime concert au Stade Pierre Mauroy ce samedi 6 septembre devant une audience assurément tout aussi déchaînée, avant un passage très attendu au mythique Royal Albert Hall à Londres, le 22 septembre prochain.
Joachim Ohnona