Les salaires des candidats de télé-réalité sont souvent de grands mystères qui intriguent beaucoup journalistes et téléspectateurs... D'une société de production à l'autre, les tarifs peuvent varier du simple au triple en fonction du budget accordé au projet et de l'éventuelle notoriété des candidats, en cas de participation à un précédent programme.
Invité sur le plateau du JT de la télé-réalité sur la chaîne câblée Non Stop People, Jacky, candidat de la troisième saison de Qui veut épouser mon fils ?, a fait des révélations très intéressantes sur la rémunération allouée aux candidats de l'émission, au titre du droit à l'image télévisuelle et du temps consacré à ce qui a été reconnu comme "un travail" par la justice.
Celui qui apparaissait dans le célèbre programme de dating de TF1 en compagnie de sa maman Véronique a d'abord hésité à divulguer le montant de son cachet que l'on imagine contractuellement confidentiel. "J'ai gagné presque 3 000 euros", finit-il par admettre face à l'insistance des animateurs de la chaîne. Ce salaire est réglé en plus des conditions d'hébergement idylliques offertes aux candidats, qui sont nourris, logés et surtout voient leurs déplacements payés par la production pour les besoins du tournage. Il reconnaît lui-même avoir logé avec sa maman Véronique dans la suite royale d'un hôtel à Séville, par exemple. Ce salaire réglé par la société de production ne comprend pas non plus ses droits à l'image presse et web, un montant qui lui a été réglé en sus.
Alors que Jacky apparaîtra sur NRJ12 dans l'émission Guy in Disguise (Mec déguisé, en français), il n'a pas dévoilé le montant de son salaire...
Cette déclaration intervient alors que la société de production Starling travaille actuellement sur la quatrième saison de l'émission qui met en scène des Tanguy - célibataires vivant toujours chez leurs parents - faisant équipe avec leur maman. Leur but commun est de dénicher conjointement la jeune femme parfaite pour enfin construire une vie sentimentale solide et couper le cordon avec une mère parfois un tantinet envahissante.
Joachim Ohnona