Rebondissement pour Jean-Luc Reichmann après la tentative de cambriolage ! Un suspect mis en examen

En février dernier, nos confrères du Parisien révélaient que Jean-Luc Reichmann avait été victime d'une tentative de cambriolage à son domicile de Neuilly-sur-Seine, département des Hauts-de-Seine situé aux portes de Paris. Les malfaiteurs avaient tenté de pénétrer chez l'animateur des 12 Coups de midi avant d'être mis en fuite par le fils de la star. Six mois plus tard, l'enquête a bien avancé.

Comme le rapportent toujours nos confrères du Parisien, un homme a été interpellé chez sa mère en juin dernier. Ce dernier est suspecté d'avoir commandité le cambriolage de Jean-Luc Reichmann et sa compagne Nathalie Lecoultre. Son profil est le suivant : jeune homme de 24 ans déjà connu des services de polices. Il aurait tenu un rôle important dans l'affaire puisqu'il est soupçonné d'avoir recruté deux chauffeurs via Snapchat, sous le nom d'utilisateur "Marley-10z". Les déclarations d'une de ces recrues, arrêtée au moment de la tentative de cambriolage, corrobore cette version. Le jeune homme, prénommé Malik, âgé de 20 ans et présenté comme étudiant en BTS Banque avait confié qu'il était dans sa voiture en compagnie de son cousin lorsqu'il a reçu un message sur l'application au logo fantôme lui proposant de gagner 200 euros chacun. La mission était la suivante : aller chercher un groupe d'inconnus à Epinay-sur-Seine, les conduire à Neuilly-sur-Seine puis "une fois fini le boulot, tu les jettes rue Archereau", dans le 19e arrondissement de Paris, lui aurait ordonné "Marley-10z".

Lors de la perquisition du domicile du présumé commanditaire, sans alibi, les enquêteurs ne sont pas repartis bredouille. En effet, toujours selon les informations du Parisien, la police a trouvé sur place pas moins de cinq téléphones. Mais le suspect a refusé de communiquer aux forces de l'ordre les codes de ses appareils. Il a également nié formellement avoir recruté des chauffeurs via Snapchat. D'après lui, il aurait prêté son compte sur le réseau social à un voisin du quartier et c'est ce dernier qui aurait envoyé le message. Toutefois, hors de question de révéler l'identité de ce dernier. Le commanditaire présumé a donc été mis en examen.