Rod Stewart et son fils Sean : Après l'accident, va y avoir du sport au tribunal

Père de huit enfants nés de cinq mères différentes et que bien des années séparent (jusqu'à 47 ans entre l'aînée récemment retrouvée, Sarah, issue d'une aventure estudiantine et élevée par des parents adptifs, et Aiden, né en février 2011), Rod Stewart est loin d'avoir fini, à 68 ans, de devoir couver sa progéniture.

Et alors que les deux petits derniers de la bande, Alastair et Aiden, 7 ans et 2 ans respectivement, fruits de son mariage en troisièmes noces avec la très glamour Penny Lancaster, réclament toute son attention, le rockeur anglais va devoir voler à la rescousse de son grand dadet Sean Stewart.

Désormais bien connu du public pour sa participation à des émissions de télé réalité outre-Atlantique (Sons of Hollywood, Celebrity Rehab with Dr. Drew - saison 2), mais aussi pour sa romance relativement récente avec la cougar télévisuelle au style bimbo Adrienne Maloof, Sean Stewart fait l'objet d'une plainte déposée par un coach sportif/kiné, lequel poursuit en justice à la fois Sean et Rod pour impayés.

Randy Rene, surnommé "l'Architecte du corps" selon TMZ.com qui ébruite l'affaire, se plaint de ne pas avoir été payé pour des prestations effectuées entre mars et mai 2012. Sean Stewart avait alors sollicité ses talents pour une rééducation suite à un accident de voiture qui avait entraîné quelques séquelles aux épaules et au dos. Mais au moment de passer à la caisse, Sean, fils de Rod et de sa première épouse Alana Hamilton (également mère de Kimberley Stewart), aurait dit à Rene de se tourner vers son assurance santé. Malgré les récriminations du praticien, sûr de ne pas obtenir son dû par ce biais, le fils du rockeur ne cèdera pas. D'où cette plainte dans laquelle "l'architecte" réclame 5 440 dollars. Une poussière, comparativement à la fortune de Rod Stewart, estimée à plus de 150 millions d'euros.

Il n'est d'ailleurs pas anodin que Rod Stewart soit ciblé par la plainte ainsi que son fils... Quant à Sean, ce n'est pas son premier "oubli" du genre : un autre coach personnel l'avait déjà assigné pour les mêmes motifs en 2008, réclamant quatre mois d'impayés.