

Dans les émissions Good Morning America et Nightline, le mari volage a donc pris la parole et dévoilé les raisons de son passage en rehab. Outre son addiction sexuelle et ses problèmes de gestion de la colère, Jesse James a été hospitalisé pour gérer les conséquences psychologiques d'une enfance maltraitée. Entre deux sanglots, il confesse avoir été battu par son père, qui lui aurait cassé le bras alors qu'il n'avait que 7 ans. "J'ai dit à Sandra que j'allais trouver de l'aide." Selon James, l'actrice aurait été "fière" de sa décision.
Autre sujet abordé, cette fameuse photo sur laquelle Jesse James fait le salut nazi (à voir ici). Pour lui, il s'agit juste d'une mauvaise blague, "probablement drôle pendant une minute, mais revoir cette photo dans le contexte aujourd'hui de ma vie, ce n'est pas drôle." Et d'ajouter : "Il n'y a pas une once de racisme en moi."
Des propos qui concordent avec les déclarations de Sandra Bullock au magazine People au moment de la révélation de son adoption du petit Louis Bardo : "Cette photo est une preuve de stupidité et d'ignorance. Le racisme, l'antisémitisme, le sexisme, l'homophobie, tout ce qui touche au nazisme et pas mal d'autres choses n'ont rien à faire dans ma vie." Et d'ajouter : "Et l'homme que j'ai épousé pensait de la même façon !"
Jesse James laisse ensuite entendre que Sarah Bullock pourrait avoir eu des doutes quand à son infidélité. Il se refuse à donner le nombre exact de ses maîtresses.
Enfin, s'il déclare ne pas le souhaiter le moins du monde, le divorce aura bien lieu ! Il tiendra en revanche un rôle dans la vie du petit Louis... un enfant noir. Nous le précisons puisque la journaliste lui a demandé s'il s'agissait d'un choix : "Je me fous de la couleur de ce bébé", a-t-il répondu. "Je voulais juste l'enfant qui avait le plus besoin de nous."
Le site américain TMZ a compilé les meilleurs passages de cette interview dans une vidéo, à découvrir en cliquant ici !
A.D.