Dans le magazine Closer, Quentin (Secret Story 2) explique qu'il a, sans le savoir, mis sa vie en danger en partageant un rapport sexuel non protégé avec son petit ami, séropositif.
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A l'heure où la quatrième saison de bat son plein[/article] sur TF1 avec des rebondissements en pagaille mais surtout des tricheries à foison, d'anciens candidats refont surface...
Eh oui il est grand temps pour ceux qu'on avait presque oubliés de nous rappeler qu'ils existent, qu'ils ont une petite vie et des histoires palpitantes à nous raconter. On se souvient par exemple d'Ophélie (Secret Story saison 1), maman depuis le début de l'année, qui reviendra bientôt sur le câble pour une météo coquine, ou encore Cyril (Secret Story saison 2) qui évoquait récemment sa relation avec la "princesse" Alexandra... On est même surpris de ne pas avoir de nouvelles d'Angie et Romain ! Pas une carte postale, pas un coup de fil, silence radio !
En revanche, l'histoire de Quentin, candidat de la seconde saison du jeu, n'est pas si légère : celui qui trouvait, il y a quelques mois, un job de placeur au Théâtre de la Porte St-Martin (Paris Xe arrdt), se confie dans les pages du magazine Closer en kiosques ce samedi 21 août. Il aborde un sujet très difficile qu'est celui de la contamination du virus du Sida. Après avoir entretenu une relation amoureuse associée à des rapports sexuels avec un homme porteur du virus, qui le lui aurait caché, il est aujourd'hui dans l'attente du résultat de son test VIH... Bouleversé, partagé entre doutes et angoisses, il raconte son histoire à Closer.
"Depuis le mois d'avril, j'étais en couple avec un mec. Tout se passait bien, mais récemment, des gens m'ont alerté au sujet de mon ami. On m'a fait comprendre qu'il était malade. Cela peut paraître cruel de leur part, mais sans eux, je n'aurais jamais su qu'il était séropositif", confie celui qui est père de deux petites filles nées d'une histoire d'amour avec son ex-petite amie Gloria.
Aujourd'hui, il évoque une possible contamination au VIH : "Lorsque je l'ai confronté à ça, il m'a avoué qu'il était porteur du virus depuis cinq ans. Je me suis alors précipité à l'hôpital pour faire un premier test qui s'est révélé négatif. Mais pour être absolument sûr de ne pas être infecté, il faut refaire un test six semaines après le dernier rapport sexuel" (le site de l'association AIDS rappelle qu'un test n'est considéré comme fiable que s'il est effectué trois mois après le rapport sexuel non protégé, NDLR).
Dans l'attente du résultat, il tient à rappeler aux jeunes l'importance du port du préservatif tant qu'aucun test de dépistage n'a été fait : "Nous avons eu des rapports protégés mais pas pendant les préliminaires. J'ai pris des risques. Je lui en veux de ne m'avoir rien dit. (...) Je veux témoigner et aviser les jeunes qu'il existe toujours un danger. Il faut vraiment faire attention et se protéger systématiquement, même lors des préliminaires. Si j'avais fait les choses correctement, cela m'aurait évité de me retrouver dans une telle situation : être dans l'attente d'un résultat qui va peut-être m'apprendre que je suis infecté par un virus dont on ne guérit toujours pas actuellement".
Rappelons que les fameux "préservatifs à 20 centimes" - pour lesquels Christophe Dechavanne a longtemps milité - sont désormais accessibles dans la plupart des moyennes et grandes surfaces : à ce tarif, plus aucune excuse pour ne pas se protéger !
JO
Eh oui il est grand temps pour ceux qu'on avait presque oubliés de nous rappeler qu'ils existent, qu'ils ont une petite vie et des histoires palpitantes à nous raconter. On se souvient par exemple d'Ophélie (Secret Story saison 1), maman depuis le début de l'année, qui reviendra bientôt sur le câble pour une météo coquine, ou encore Cyril (Secret Story saison 2) qui évoquait récemment sa relation avec la "princesse" Alexandra... On est même surpris de ne pas avoir de nouvelles d'Angie et Romain ! Pas une carte postale, pas un coup de fil, silence radio !
En revanche, l'histoire de Quentin, candidat de la seconde saison du jeu, n'est pas si légère : celui qui trouvait, il y a quelques mois, un job de placeur au Théâtre de la Porte St-Martin (Paris Xe arrdt), se confie dans les pages du magazine Closer en kiosques ce samedi 21 août. Il aborde un sujet très difficile qu'est celui de la contamination du virus du Sida. Après avoir entretenu une relation amoureuse associée à des rapports sexuels avec un homme porteur du virus, qui le lui aurait caché, il est aujourd'hui dans l'attente du résultat de son test VIH... Bouleversé, partagé entre doutes et angoisses, il raconte son histoire à Closer.
"Depuis le mois d'avril, j'étais en couple avec un mec. Tout se passait bien, mais récemment, des gens m'ont alerté au sujet de mon ami. On m'a fait comprendre qu'il était malade. Cela peut paraître cruel de leur part, mais sans eux, je n'aurais jamais su qu'il était séropositif", confie celui qui est père de deux petites filles nées d'une histoire d'amour avec son ex-petite amie Gloria.
Aujourd'hui, il évoque une possible contamination au VIH : "Lorsque je l'ai confronté à ça, il m'a avoué qu'il était porteur du virus depuis cinq ans. Je me suis alors précipité à l'hôpital pour faire un premier test qui s'est révélé négatif. Mais pour être absolument sûr de ne pas être infecté, il faut refaire un test six semaines après le dernier rapport sexuel" (le site de l'association AIDS rappelle qu'un test n'est considéré comme fiable que s'il est effectué trois mois après le rapport sexuel non protégé, NDLR).
Dans l'attente du résultat, il tient à rappeler aux jeunes l'importance du port du préservatif tant qu'aucun test de dépistage n'a été fait : "Nous avons eu des rapports protégés mais pas pendant les préliminaires. J'ai pris des risques. Je lui en veux de ne m'avoir rien dit. (...) Je veux témoigner et aviser les jeunes qu'il existe toujours un danger. Il faut vraiment faire attention et se protéger systématiquement, même lors des préliminaires. Si j'avais fait les choses correctement, cela m'aurait évité de me retrouver dans une telle situation : être dans l'attente d'un résultat qui va peut-être m'apprendre que je suis infecté par un virus dont on ne guérit toujours pas actuellement".
Rappelons que les fameux "préservatifs à 20 centimes" - pour lesquels Christophe Dechavanne a longtemps milité - sont désormais accessibles dans la plupart des moyennes et grandes surfaces : à ce tarif, plus aucune excuse pour ne pas se protéger !
JO