Angie (Secret Story 3) participe, du vendredi 4 juin à 18h au samedi 5 juin à 14h30, à une expérience voyeuriste dans le cadre du projet du Grand Pari(s) à Enghiens-les-Bains (95).© Abaca
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Candidate aussi peu heureuse en jeu qu'en amour, puisqu'après avoir quitté l'aventure Secret Story 3 aux portes de la finale, elle n'a hélas pas pu compter sur sa love story avec Romain qui s'est achevée à l'hiver dernier dans des circonstances difficiles, Angie est l'archétype de la bimbo telle qu'on en trouve dans les émissions de télé-réalité.
Elle n'a jamais caché ses opérations de chirurgie esthétique, mais la pulpeuse Angie Be s'apprête à participer à une "oeuvre artistique" (toutes proportions gardées) organisée dans le cadre du Grand Pari(s) de l'art contemporain, une opération lancée par le Conseil général de l'Île-de-France.
La blonde de 33 ans s'exposera à l'intérieur d'une bulle d'air en plastique transparent teintée de rose (Barbie n'aurait pas rêvé mieux !), qui naîtra autour de 18h00 sur le lac d'Enghien-les-Bains (95), pour une performance artistique réalisée à l'initiative de Gilles Ouaki. Ainsi, durant près de 24 heures - l'expérience prendra fin ce samedi à 14h30 -, Angie déambulera à la vue de tous et sous l'oeil des caméras (www.valdoise.fr retransmettra notamment la vie ordinaire d'Angie pendant cette journée), vivant dans cette structure gonflable. Une oeuvre d'art humanisée qui s'inscrit en préambule au lancement, le 12 juin prochain, du Festival international des arts numériques, organisé à Enghiens-les-Bains pendant 8 jours.
Une idée qui peut sembler loufoque, mais que son instigateur, Gilles Ouaki, artiste contemporain et ex-journaliste, décrit comme une dénonciation du diktat de la beauté uniforme que les médias nous renvoie systématiquement, mais aussi les dérives de la télé-réalité.
"Les gens qui participent à ces émissions sont mis dans des bulles (...) Les femmes ne sont pas obligées d'être anorexiques et de passer par la chirurgie esthétique pour être belles. Il faut aimer les femmes telles qu'elles sont", confie Gilles Ouaki au site région Vonews, partenaire de l'événement.
"Je veux dénoncer les comportements fondés sur le paraître, à grand renfort de chirurgie esthétique et de comportements anorexiques", ajoute l'artiste à l'origine de ce projet, dans les colonnes du Parisien de ce matin. Durant ces 24 heures d'observation, elle devrait tenter de mener une vie quasiment normale : recevoir son coiffeur, boire un verre avec des amis ou accueillir des personnalités investies dans le projet du Grand Pari(s), comme Véronique Genest, ou encore l'écrivain Yann Queffélec.
Angie serait-elle en pleine rédemption, ou participe-t-elle à cette initiative comme un nouveau moyen de s'attirer une notoriété ?
JO
Elle n'a jamais caché ses opérations de chirurgie esthétique, mais la pulpeuse Angie Be s'apprête à participer à une "oeuvre artistique" (toutes proportions gardées) organisée dans le cadre du Grand Pari(s) de l'art contemporain, une opération lancée par le Conseil général de l'Île-de-France.
La blonde de 33 ans s'exposera à l'intérieur d'une bulle d'air en plastique transparent teintée de rose (Barbie n'aurait pas rêvé mieux !), qui naîtra autour de 18h00 sur le lac d'Enghien-les-Bains (95), pour une performance artistique réalisée à l'initiative de Gilles Ouaki. Ainsi, durant près de 24 heures - l'expérience prendra fin ce samedi à 14h30 -, Angie déambulera à la vue de tous et sous l'oeil des caméras (www.valdoise.fr retransmettra notamment la vie ordinaire d'Angie pendant cette journée), vivant dans cette structure gonflable. Une oeuvre d'art humanisée qui s'inscrit en préambule au lancement, le 12 juin prochain, du Festival international des arts numériques, organisé à Enghiens-les-Bains pendant 8 jours.
Une idée qui peut sembler loufoque, mais que son instigateur, Gilles Ouaki, artiste contemporain et ex-journaliste, décrit comme une dénonciation du diktat de la beauté uniforme que les médias nous renvoie systématiquement, mais aussi les dérives de la télé-réalité.
"Les gens qui participent à ces émissions sont mis dans des bulles (...) Les femmes ne sont pas obligées d'être anorexiques et de passer par la chirurgie esthétique pour être belles. Il faut aimer les femmes telles qu'elles sont", confie Gilles Ouaki au site région Vonews, partenaire de l'événement.
"Je veux dénoncer les comportements fondés sur le paraître, à grand renfort de chirurgie esthétique et de comportements anorexiques", ajoute l'artiste à l'origine de ce projet, dans les colonnes du Parisien de ce matin. Durant ces 24 heures d'observation, elle devrait tenter de mener une vie quasiment normale : recevoir son coiffeur, boire un verre avec des amis ou accueillir des personnalités investies dans le projet du Grand Pari(s), comme Véronique Genest, ou encore l'écrivain Yann Queffélec.
Angie serait-elle en pleine rédemption, ou participe-t-elle à cette initiative comme un nouveau moyen de s'attirer une notoriété ?
JO