
Le 20 février dernier, après plusieurs mois d'attente, la sentance est tombée pour Christophe Dechavanne. L'animateur a été jugé pour "conduite d'un véhicule en ayant fait usage de substances ou plantes classées comme stupéfiants en récidive commis le 17 août 2024 à Toulon-sur-Allier", devant le tribunal correctionnel de Moulins. Et il a été condamné à 1 200 euros d’amende, à une annulation de permis, et à la saisie de son véhicule.
Depuis, la question se posait de savoir quel serait son avenir au sein de l'émission Quelle époque ! sur France 2, présentée par Léa Salamé et pour laquelle il est "invité permanent" depuis son lancement en 2022. Christophe Dechavanne va y répondre lui-même. En effet, d'après les informations du Parisien, et ce qui a été confirmé par France Télévisions, l'animateur sera bien présent pour le retour du programme samedi 1er mars, après les vacances de Léa Salamé, pour annoncer son retrait.
"C'est sa décision. Il ne veut pas que son affaire ne vienne perturber la chaîne et l’émission", ont déclaré à nos confrères ses proches. Et d'ajouter : "Il ne peut pas faire la leçon à tout le monde chaque semaine sur le plateau et être en faute".

Un coup dur pour Christophe Dechavanne qui connaissait un véritable renouveau avec Quelle époque ! "Il s’éclate, il est heureux de faire ce talk-show. Il vit sa meilleure vie, ravi de voir Salamé rigoler à ses blagues", confiait déjà une source proche de la figure de télé au Parisien l'année dernière.
Christophe Dechavanne a été testé positif aux plantes classées comme stupéfiants, en l'espèce de la cocaïne, suite à un excès de vitesse relevé sur la RN7, lors de contrôles de gendarmerie l'été dernier. Il roulait en effet à 120 km/h sur une route limitée pourtant à 80.
Lors de son procès, son avocat l'a défendu en plaidant une "consommation passive", étant donné qu'une relation avec une femme ayant consommé de la cocaïne l'aurait contaminé malgré lui. "Monsieur Dechavanne n'est pas un consommateur de matières stupéfiantes quelles qu'elles soient", tous les tests réalisés depuis l'infraction "le prouvent", comme l'assurait lui-même le procureur.
Christophe Dechavanne a immédiatement interjeté appel à cette condamnation. Il est donc présumé innocent des faits qui lui sont reprochés.