Tonya Kinzinger évoque la disparition de son bébé et les conséquences pour son fils aîné Sacha

Depuis le vendredi 21 juin, aucun épisode d'Un si grand soleil n'a été diffusé sur France 2. En cause : les différents bouleversements liés au traitement médiatique des élections législatives. Ce n'est que ce mercredi 3 juillet que la fiction quotidienne fait son retour à l'antenne. Et pour rattraper son retour, la chaîne propose une première soirée spéciale en prime time aux téléspectateurs (la seconde étant le 10 juillet prochain).

Les fans du programme retrouveront donc avec plaisir les histoires des personnages à Montpellier, dont celles de Janet, jouée par Tonya Kinzinger. L'actrice américain de 56 ans est désormais bien identifiée dans ce rôle mais auparavant, elle était surtout Jessica dans Sous le soleil. Avec cette série, l'américain a toujours eu une place spéciale dans le coeur des Français. Ces derniers étaient donc ravis de la retrouver en 2014 dans l'émission Danse avec les stars. A l'époque, elle faisait équipe avec Maxime Dereymez et, elle avait particulièrement ému en réalisant une chorégraphie en souvenir de son bébé décédé à la suite d'une fausse couche en 2005.

Un moment très touchant et marquant qu'elle ne regrette absolument pas, si ce n'est sur le fait qu'elle aurait dû "mieux préparer" son fils Sacha, 11 ans au moment de cette annonce et désormais âgé de 21 ans. "Il a eu une réaction que je n'avais pas prévue. Il m'a dit : 'J'ai perdu un petit frère qui aurait eu deux ans de moins que moi' ! Même si ça s'est passé il y a dix ans, c'est difficile pour lui", avait-elle confié au magazine Télé Poche un peu plus tard. Toutefois, Tonya Kinzinger est persuadée d'avoir fait le bon choix en se livrant sur le sujet : "Ça aurait été me mentir et mentir aux autres de ne pas dire la vérité."

Quant à l'idée de retomber enceinte ou d'adopter, elle déclarait : "J'avais mis 5 ans à avoir Sacha (...) Adopter aurait pu être une solution. Mais nous avions une vie très instable, entre deux continents, toujours dans l'incertitude du lendemain."