A 44 ans, Vincent Niclo entretient toujours le mystère sur sa vie amoureuse. Le chanteur, découvert par le grand public il y a déjà sept ans avec son disque Opéra Rouge, poursuit sa carrière et n'affiche personne à son bras. Pour Paris Match, il a cependant levé (un peu) le voile sur ses histoires de coeur...
Interrogé pour la rubrique "Comment ça va ?", Vincent Niclo a accepté d'évoquer son premier chagrin d'amour. Alors qu'il apparaît un peu comme un chanteur lover façon version jeune d'un Julio Iglesias, la réponse de l'artiste démontre que dans sa jeunesse il faisait tourner les têtes. "J'avais 13 ans, elle s'appelait Isabelle. C'était la voisine de mes grands-parents en Vendée. C'était aussi mon premier baiser. Une révélation. Cela n'a pas duré, mais nous sommes toujours en contact", a-t-il confié. Quelques fans risquent bien d'être jalouses de cette fameuse Isabelle...
Évoquant toujours le sujet de l'amour, l'interprète de Jusqu'à l'ivresse et Je ne sais pas a révélé que son film préféré est Breaking the Waves de Lars Von Trier, qu'il a vu "25 fois" et qui est pour lui "la plus belle histoire d'amour au monde". Le film, sorti en 1996, raconte l'histoire de Bess, qui se marie à Jan, lequel devient handicapé et l'encourage à avoir des relations charnelles avec d'autres hommes...
Il y a trois ans de cela, Vincent Niclo s'exprimait au micro de Purepeople pour évoquer son projet artistique du moment, qui parlait déjà d'amour. "Aimer, c'est un grand voyage, parfois y a des naufrages ! Parfois, on surfe sur la vague aussi. C'est ça, l'amour, c'est des hauts et des bas. C'est compliqué à gérer sur toute une vie, on fait avec ce qu'on a. Des fois, on prend le bon bateau et des fois, on n'a pas pris le bon. On descend sur un autre quai, on prend un autre bateau et on espère que le voyage dure le plus longtemps possible. (...) J'ai toujours essayé d'être élégant (...) jamais par texto. En face à face !", disait-il alors.
Les confidences de Vincent Niclo sont à retrouver dans Paris Match, dans les kiosques le 4 décembre 2019.
Thomas Montet