A l'affiche du film Un amour impossible (dans les salles le 7 novembre), Virginie Efira poursuit son marathon promotionnel et continue de faire quelques révélations dans la presse. Dans les colonnes du JDD paru ce dimanche 4 novembre 2018, l'actrice de 41 ans s'est notamment confiée sur son mariage.
Les fans de la jolie blonde se souviennent en effet que, bien avant de débuter sa carrière au cinéma ou même de crever le petit écran dans Nouvelle Star, l'émission qu'elle animait et qui l'avait révélée au grand public français, Virginie Efira avait été mariée au comédien et producteur belge Patrick Ridremont. Après deux années d'amour, le couple s'était dit "oui" en 2002. Ils s'étaient séparés trois années plus tard avant de finaliser leur divorce en 2009.
Selon la pétillante comédienne, ce premier mariage survenu à un si jeune âge n'a pas été vu d'un très bon oeil par son papa médecin, André Efira. "A 22 ans, je me suis mariée. Une catastrophe pour mon père : il m'a toujours dit qu'il ne fallait pas dépendre des hommes", a-t-elle expliqué. Puis de se confier sur sa relation avec son paternel : "Tout d'abord, médecin pris par ses gardes à l'hôpital, il a été relativement absent. Puis, quand ma mère et lui ont divorcé, il a pris à coeur mon éducation. (...) Il surveillait deux heures par jour mes devoirs, il se montrait sévère mais toujours très à mon écoute", a-t-elle ajouté.
Je ne crois pas en l'amour propriétaire
Celle qui est aujourd'hui maman d'une petite Ali (5 ans) née d'une précédente relation avec le réalisateur Mabrouk El Mechri a aussi affirmé qu'elle n'était pas une femme "jalouse", bien au contraire. "Après notre séparation, j'ai connu les autres filles qui ont jalonné la vie de mon ex-mari. Même si je sais que la jalousie peut être un moteur, même érotique, je ne crois pas en l'amour propriétaire. Je ne suis pas jalouse. Et je ne me sens pas dans un rapport compétitif. Une femme qui a aimé le même homme que moi, ça me rapproche plus que ça m'éloigne. Mais méfions-opus de nos pulsions : la sexualité ne nous donne-t-elle pas l'illusion que l'autre nous appartient ?", a-t-elle sagement questionné.