Lumineux et très en forme, Akhenaton apparait sur une série de clichés pris lors du tournage de l'émission de télévision Du son sur les toits à Marseille, sur le toit du MAMO (Centre d'art de la Cité radieuse de Marseille), laquelle sera diffusée le 26 août 2021 sur France 2.
L'émission avait été enregistrée le 27 mai 2021 et le rappeur avait été hospitalisé quelques semaines plus tard. Le co-fondateur du groupe IAM avait été admis dimanche 1er août en réanimation à l'hôpital Timone, à Marseille, pour détresse respiratoire après avoir contracté la Covid-19.
Rien à voir avec le Covid
Quelques jours après sa sortie de l'hôpital, l'un de ses amis - un rappeur originaire de Sète - avait rapidement contesté les informations divulguées sur la Toile et avait rétabli la vérité au sujet de son hospitalisation. "Les médias, les réseaux VS la réalité ! Le grand frère #Akhenaton se porte bien grâce à Dieu. A SAVOIR : il était pas réa, il était en oxygénothérapie [comme Roselyne Bachelot, NDLR]. Et sa pneumopathie était bactérienne, rien à voir avec le Covid.. il va mieux".
Récemment, ce même artiste a partagé un autre cliché avec Akhenaton et a indiqué qu'ils travaillaient activement sur de futurs sons en studio. "Au studio avec le groupe IAM légendaires et inoubliables avec @shurikn_iam & @akhenatoniam", a-t-il écrit en légende.
Interviewé par Claire Chazal dans l'émission Passage des arts à l'occasion de la sortie de son livre La faim de leur monde, il regrette : "Nos gouvernants prennent exactement les même méthodes que les intolérants d'extrême droite, ils dénigrent tout ce qui se dit qui ne va pas dans le sens de la doxa, du discours officiel". Regrettant qu'aujourd'hui des "médecins de plateaux de télévision" sont plus écoutés que des grands spécialistes, il confie que selon lui, la crise civilisationnelle actuelle est liée à "l'appétit démesuré de certains".
Dans une vidéo publiée sur Twitter le 17 juillet dernier, le rappeur indiquait également être contre le pass sanitaire et contre le vaccin obligatoire. "Je le répète, je le redis comme je le fais depuis de nombreux mois. Avec le groupe IAM nous sommes contre le passeport sanitaire, contre la vaccination obligatoire, à l'usure ou non, dans le cas des soignants ou d'autres métiers (...) Il en va de nos libertés, de l'avenir de nos enfants", avait-il confié.