Depuis qu'ils ont décidé de divorcer, c'est la guerre des tranchées. Entre Amber Heard et Johnny Depp, c'est un peu le jeu du "Qui a frappé qui ?" – et ça ne fait rire personne, des femmes mourant réellement tous les jours sous les coups de leur mari. Comme vous le savez, chacun s'est à son tour retrouvé accusé de violences conjugales et essaie de prouver depuis qu'il ou elle a raison. Mais le Daily Mail s'est procuré des enregistrements audio d'une conversation téléphonique entre les deux ex. La voix du comédien étant plus forte que celle de son interlocutrice, on peut imaginer que c'est lui qui a pensé à enregistrer ces échanges. D'autant qu'il la pousse à avouer ses fautes.
"Personne ne va te croire, le nargue-t-elle notamment. Est-ce que tu réalises que je fais 52 kilos ? Enfin, plus maintenant, mais je faisais 52 kilos." Dans cette nouvelle joute verbale, Amber Heard explique que Johnny Depp n'est pas crédible quand il affirme qu'elle serait à l'origine des premiers coups et blessures. "Tu peux dire aux gens qu'on était à égalité et attendre de voir ce que le jury et le juge vont penser, poursuit-elle. Dis-le Johnny, dis 'Moi, Johnny Depp, un homme, suis aussi victime de violences domestiques'. Tu es plus grand, plus gros, plus fort. Je n'essaye pas de t'insulter, j'énonce juste les faits, et je t'explique pourquoi j'ai dit qu'il fallait qu'on appelle le 911. Parce que tu avais tes mains sur moi après m'avoir jeté ton téléphone au visage. J'avais vraiment besoin qu'on arrête cette folie avant d'être blessée."
C'est le deuxième document audio que se procure le Daily Mail. Dans le précédent, la jeune actrice de 33 ans avouait pourtant avoir déjà frappé Johnny Depp, sans qu'il ne s'agisse de coups d'une fureur excessive. "Ce n'était pas une gifle. Je te frappais, mais je ne t'ai pas mis de coups de poing. Tu ne t'es pas pris de coups de poing", précisait-elle. Amber Heard a demandé le divorce le 23 mai 2016 et s'est retrouvée plongée dans un vortex judiciaire en même temps que son ex. Elle a retrouvé l'amour, depuis, dans les bras de la réalisatrice Bianca Butti.