Amy Winehouse revient dans les bacs. Le rappeur Nas a samplé la voix de la défunte pour le titre Cherry Wine, totalement inédit, qu'il publiera le 17 juillet sur son album Life is Good. Il s'agit de la seconde collaboration de la chanteuse, morte l'année dernière, avec le rappeur américain après le très bon Like Smoke, paru en décembre, sur l'album posthume d'Amy, Lioness: Hidden Treasures.
Alors que l'on s'apprête à célébrer le 23 juillet le premier anniversaire de la mort d'Amy Winehouse, son père Mitch continue la promo de son livre Amy, ma fille (Flammarion), sorti le 4 juillet. Un livre qui lui permettra de récolter beaucoup d'argent pour la fondation qu'il a créée au nom de la chanteuse.
Cette semaine dans Grazia, Mitch Winehouse s'explique sur la très grande proximité qu'il entretenait avec sa fille : "Les familles confrontées à l'addiction se divisent en deux : il y a celles qui ne veulent pas entendre parler et celles qui se battent au jour le jour. Il n'y a pas de bonne ou de mauvaise méthode. Mais ce n'est pas notre relation qui était inhabituelle, ce sont les circonstances." Ce qui les liait, c'était l'humour. Après que Mitch a cédé aux sirènes du Botox, Amy lui aurait lancé : "Ça ne me plaît pas que tu dépenses tout ton fric en piquouses, papa !" Pour Mitch Winehouse, cet humour un peu noir leur a permis de tenir : "On riait tellement que je me suis retrouvé à l'hôpital avec une hernie. Et quand Amy est venue me voir après l'opération, on a tellement rigolé qu'il a fallu refaire les points de suture."
L'intégralité de cette interview de Mitch Winehouse est à découvrir dans le nouveau numéro de "Grazia", en kiosques le 6 juillet.
"Amy, ma fille" de Mitch Winehouse, chez Flammarion, le 4 juillet en librairie.