La chanteuse enchaîne coups durs sur coups durs. Après être partie bredouille de la 24e édition des NRJ Music Awards, organisée à Cannes le 19 novembre 2022, Aya Nakamura va devoir se rendre devant la 12e chambre du tribunal correctionnel de Bobigny. L'artiste de 27 ans et son ancien compagnon, le producteur Vladimir Boudnikoff, vont effectivement être jugés pour "violences par conjoint avec ITT de moins de huit jours", des faits qui datent de l'été dernier, au mois d'août - selon les informations de BFMTV.
Une trentaine de dossiers devraient être analysés le jeudi 24 novembre 2022, à Bobigny. Dans la liste, celui d'Aya Nakamura est sans doute celui qui est le plus médiatisé. Parents d'une petite fille prénommée Ava, née durant l'hiver 2020 - la chanteuse a également une plus grande fille, née en 2016 d'une précédente relation -, les deux artistes s'étaient séparés en août 2022 après une grosse dispute survenue au domicile du producteur, à Rosny-sous-Bois, en Seine-Saint-Denis. Cette altercation avait nécessité plusieurs interventions de la police.
Il n'y a pas eu vraiment de coups
"On n'est pas dans un contexte de violences lourdes, précise toutefois une source proche du dossier à BFMTV. Il n'y a pas eu vraiment de coups." Dans la nuit du samedi 6 au dimanche 7 août, la police avait dû se rendre au pavillon de Vladimir Boudnikoff aux alentours d'1h45 pour apaiser les tensions. Aya Nakamura était finalement revenue sur place, un peu plus tard, avec deux amis pour récupérer des affaires. Ne se sentant pas en sécurité, son compagnon de l'époque avait alors, à nouveau, demandé l'aide des forces de l'ordre. La police avait interpellé la chanteuse et ses amis.
Nous avons fait des bêtises ce soir-là
S'ils n'ont jamais trop évoqué leur rupture amoureuse, Vladimir Boudnikoff avait pris la parole sur les réseaux sociaux pour expliquer que l'affaire semblait être classée. "Nous avons fait des bêtises ce soir-là et c'est la vie aussi, écrivait-il sur Instagram. La femme que j'aime et moi-même allons très bien. Vraiment rien de grave, rien." Il faudra tout de même répondre de ses actes, le 24 novembre 2022, face au tribunal correctionnel de Bobigny...