A la suite de notre article paru en date du 11 septembre et d'une confusion possible entre la Biennale Paris (anciennement Biennale des Antiquaires) organisée par le Syndicat National des Antiquaires et l'association Biennale de Paris, il nous a été demandé par l'association Biennale de Paris d'insérer le droit de réponse qui suit :
"A la suite de la parution d'un article le 11 septembre 2018, nous souhaitons apporter certaines précisions destinées à éviter toute confusion entre l'association " Biennale de Paris " et le " Syndicat National Des Antiquaires Négociants en Objets d'Art ".
En effet, cet article cite le nom de l'association " Biennale de Paris ", ainsi que celui de l'événement éponyme qu'elle organise. D'une durée de deux ans, chaque édition de cette manifestation se déroule à différents endroits de la planète.
Pourtant, ledit article traite de l'évènement " La Biennale Paris ", organisé par le " Syndicat National Des Antiquaires Négociants en Objets d'Art " et qui s'est déroulé du 8 au 16 septembre 2018 au Grand Palais, à Paris.
C'est pourquoi nous tenons à rappeler que l'événement " Biennale de Paris " ne s'est jamais déroulé ni à ces dates, ni à ces lieux.
Nous regrettons cette confusion, qui porte atteinte à l'image de l'association Biennale de Paris."
Association " Biennale de Paris "
Depuis le 8 septembre et jusqu'au 16 septembre 2018, le Grand Palais accueille la 30e édition de la Biennale de Paris. Pendant ces huit jours, organisés par le Syndicat National des Antiquaires (SNA), quelque 5 000 oeuvres et objets sont exposés, proposés par les plus grands marchands et plus belles galeries, avec l'ambition de "défendre et promouvoir l'excellence et le raffinement à la française". Pour cette édition anniversaire, la Biennale s'ouvre au design et à la création contemporaine comme a pu en juger Brigitte Macron, lundi 10 septembre.
En robe et manteau ton sur ton bleu marine, la première dame a bénéficié d'une visite très VIP lundi. Brigitte Macron a été accueillie par Mathias Ary Jan, président du SNA, et Emmanuel Marcovitch, directeur général délégué de la Réunion des musées nationaux et du Grand Palais des Champs-Élysées. L'épouse d'Emmanuel Macron a notamment rencontré le couturier et créateur Jean-Charles de Castelbjac et le collectionneur Pierre-Jean Chalençon, dont la collaboration est l'un des immanquables de cette foire.
Pour la Biennale, Castelbajac a revisité des étendards napoléoniens qui, sublimes, flottent sous la verrière du Grand Palais. Ils marquent la présence d'un mausolée qui abrite une partie de la collection d'objets liés à Napoléon de Pierre-Jean Chalençon : "À la Biennale, le visiteur n'a qu'un petit avant-goût de cette collection comprenant près de 2000 pièces. En 1969, le grand Palais avait accueilli la plus grande exposition sur Napoléon, pour célébrer le bicentenaire de sa naissance. Elle avait attiré des centaines de milliers de personnes." La scénographie des pièces présentées en ce moment au Grand Palais donne un bon coup de lustre à l'Empereur : Castelbajac a fait inscrire "maison fondée en 1804" à l'entrée du mausolée et imaginé un petit "n" suivi d'une étoile en guise de logo. C'est devant ce "carrousel céleste" que Brigitte Macron a pris la pose pour quelques photos en compagnie de Mathias Ary Jan, Emmanuel Marcovitch, Pierre-Jean Chalençon et Jean-Charles de Castelbajac.
Quelques jours plutôt, dimanche, c'est pour les deux étoiles de l'Equipe de France que la première dame quittait l'Elysée. En compagnie du président, Brigitte Macron, superbe en robe dorée Louis Vuitton, a assisté au retour des Bleus au Stade de France à l'occasion de la Ligue des nations. Les hommes de Didier Deschamps ont fait honneur à leur Coupe du monde en remportant leur match (2-1) contre les Pays-Bas.