Révélée dans l'émission Familles nombreuses, Camille Santoro a évoqué sa douloureuse rupture avec Nicolas le père de ses enfants Alessio, Nino, Emie, Maé, Mattia et Alba lors d'un live Instagram. Émue, elle a expliqué que c'est le manque de sommeil qui a pesé sur son couple. "Mes enfants n'ont jamais fait leurs nuits. J'ai des enfants qui ne dorment pas", a-t-elle révélé. "Dans la parentalité, la privation de sommeil, c'est le pire".
Épuisés, les parents ne parvenaient plus à s'entendre et se disputaient pour tout et n'importe quoi. Elle ajoute : "Mais oui, c'est vraiment hard. Quand ils étaient petits, c'était un enfer". Elle poursuit : "Chez nous, ça a duré jusqu'aux 3 ans pour certains enfants. (...) Quand les parents me disaient que leurs enfants faisaient leurs nuits, je me disais qu'ils mentaient. Je préférais me dire ça. C'était pour me rassurer !".
Dans un long post publié sur les réseaux sociaux, elle a ajouté : "Cela fait plus d'un an que Nico et moi enchaînons les déceptions et les coups durs. Malheureusement, ces difficultés ont eu raison de nous. Nous nous sommes perdus. C'est une période de tristesse et de transition. Mettre un terme à toutes ces années de vie commune est une épreuve dont nous nous relevons difficilement et que nous n'aurions jamais pensé vivre. Mais le dialogue entre nous n'a jamais été rompu, de même qu'il n'y a jamais eu de guerre, pas plus que de trahison."
"Nico et moi travaillons ensemble pour le bien-être de nos enfants, malgré les défis de notre séparation. Je n'aurais jamais dû être confrontée au harcèlement et à la pression publique qui ont accompagné cette période" a-t-elle ajouté demandant de la part des internautes du respect et de la bienveillance afin de ne pas "ajouter plus de malheur à tout ça".
"La vie est déjà assez complexe et nous devrions nous soutenir mutuellement plutôt que de juger et de critiquer. Je remercie ceux qui respectent ma vie privée. Je tiens fortement à ma liberté de pouvoir vous partager le reste de ma vie personnelle quand j'en ressentirai l'envie." a-t-elle conclu.