Dans un nouvel entretien accordé à l'édition américaine du magazine Elle, Chloë Grace Moretz s'est confiée sur les diktats imposés par l'industrie hollywoodienne et le monde de la mode.
Spontanée et pétillante, l'actrice de 19 ans (qui a récemment été choisie en tant qu'ambassadrice de la marque Coach) affirme notamment qu'elle souhaite rester "aussi naturelle que possible" et que sa priorité est de véhiculer une bonne image afin de rester un modèle à suivre pour ses jeunes fans. Si elle est impeccablement apprêtée et maquillée pour fouler le tapis rouge, la comédienne américaine tient à montrer l'exemple en faisant comprendre qu'il n'y a pas de corps parfait et que tout est un travail de préparation. "Je veux que les jeunes femmes comprennent que l'on ne naît pas ainsi. Oui, j'ai eu des extensions capillaires. Oui, la raison pour laquelle j'ai ce corps c'est parce que je fais de l'exercice sept fois dans la semaine. Oui, je mange très sain, même si je n'en ai pas envie et que je me fais aussi plaisir. Parfois, il faut se battre et travailler dur pour obtenir les choses, et il faut être heureux d'être qui on est", confie-t-elle.
Je voulais réduire la taille de mes fesses
À l'aise avec son corps, Chloë Grace Moretz admet toutefois que cela n'a pas toujours été le cas. Il y a trois ans, elle avait ainsi songé à la chirurgie esthétique pour retoucher certaines choses. "Lorsque j'avais 16 ans, je voulais me faire opérer des seins. Je voulais retirer mon double menton. Je voulais réduire la taille de mes fesses. Ma mère ma dit : 'Absolument pas, tu n'es pas autorisée à faire de la chirurgie plastique.' Et grâce à ça, mes insécurités sont devenues ma force. Elles font de moi ce que je suis aujourd'hui", poursuit-elle.
Heureuse en amour, elle s'est également épanchée avec tendresse sur son petit ami, Brooklyn Beckham. Le fils aîné de Victoria et David Beckham a deux années de moins que sa chérie au compteur mais fait preuve d'une solide maturité, comme le révèle fièrement l'actrice. "[Les mauvais jours] mon copain est d'un soutien énorme. Ne vous méprenez pas, je n'ai pas besoin d'un homme pour quoi que ce soit, mais lorsque je me sens mal dans ma peau, il me dit : 'Stop. Regarde ce que tu dis pendant tes interviews. Regarde ce pour quoi tu te bats. Ecoute tes propres mots, car tu es aussi belle que ce que tu le dis. Toutes les jeunes femmes sont plus belles qu'elles le croient, tu sais. Et je t'aime bien plus lorsque tu portes un pantalon de jogging que lorsque tu t'habilles pour un tapis rouge.' C'est agréable d'avoir un jeune homme de 17 ans qui est capable de regarder une femme de cette façon. Je pense que cela signifie qu'on est sur la même longueur d'onde", conclut-elle joyeusement.
S.L.