Christophe Dechavanne n'est pas qu'un animateur, producteur et acteur... Aussi curieux que cela puisse paraître, l'homme est également père de famille ! Trois enfants issus de trois relations différentes en font un père comblé, d'autant plus depuis son mariage cet été avec Sophie Lapointe...
Et l'animateur de La Roue de la Fortune, qui attend avec impatience le résultat des Gérard, connaît des problèmes avec sa dernière fille Ninon, 12 ans... Le collège privé Saint-Louis situé dans le IXème arrondissement de Paris, où cette dernière est scolarisé, doit fermer ses portes en 2012. Une décision difficile à accepter pour bon nombre de parents d'élèves et de lycéens qui se sont retrouvés en masse devant les portes de l'établissement vendredi matin. La raison de cette fermeture ? Les locaux, qui appartiennent à une congrégation de religieuses, vont être vendus... Les parents reprochent à la direction de ne pas avoir anticipé les travaux de remise aux normes et le remplacement des soeurs qui souhaitaient partir à la retraite. "Nous avons servi cette institution pendant cent cinquante-huit ans. C'est normal que notre congrégation tire les bénéfices de son bien. Nos soeurs ont le droit de finir leurs jours dans la dignité", s'est ainsi justifiée soeur Martine, la directrice, âgée de 68 ans.
Résultat, les enfants vont devoir trouver un autre point de chute. Et parmi eux, la fille du complice de la pulpeuse Victoria Silvstedt. Un Christophe Dechavanne qui a confié au quotidien Le Parisien son amertume : "C'est avec tristesse que j'ai appris la fermeture de cet établissement, décidée en secret sans que personne, apparemment, ne puisse rien faire". Il en appelle ainsi au maire de Paris Bertrand Delanoë, "qui est humain" et qui "ne peut pas rester insensible". Avant d'ajouter très finement "même si elle (l'école NDLR !) est catholique et même s'il est un homme de gauche !" L'animateur se montre tout de même compréhensif envers la situation des soeurs, tout en fustigeant l'Etat : "Quant aux soeurs qui ont fait un travail bénévole admirable pendant plus de quarante ans, elles doivent pouvoir bénéficier d'une retraite ou d'aides financières de l'Etat. Je suis révolté à l'idée qu'elles soient obligées de vendre leur bien pour que les soeurs de la congrégation puissent manger à leur faim." Et de conclure : "Si c'est le seul moyen pour elles de profiter un peu de la vie après avoir servi les autres pendant de longues années, je ne vois pas comment on pourrait s'y opposer."