Dimitri Rassam : L'ex de Charlotte Casiraghi se lance dans une nouvelle et belle aventure

Si Un p’tit truc en plus d’Artus a battu tous les records avec près de 11 millions de spectateurs en salles, le deuxième au classement n’est pas très loin. Porté par Pierre Niney et avec un casting 5 étoiles, Le Comte de Montecristo a dépassé les 9 millions d’entrées, ce qui en fait un des plus grands succès de l’histoire du cinéma français. Une sacrée réussite, notamment pour son producteur principal, Dimitri Rassam, qui doit forcément être très heureux de l’intérêt des Français pour les grandes aventures romanesques, comme celle écrite par Alexandre Dumas.

Pour son prochain projet, le fils de Carole Bouquet a décidé de s’attaquer à un monument de la littérature française, Les Rois maudits de l’écrivain Maurice Druon. “Ma conviction, c’est qu’il y a un trésor d’histoires dans le patrimoine européen, et qu’on peut les raconter depuis l’Europe”, explique-t-il ce mardi 17 décembre, dans une interview accordée au Figaro. Pour mener ce projet à bien, l’ex de Charlotte Casiraghi vient tout juste de lancer un nouveau projet baptisé Yapluka, un fonds européen de financement. “Cette nouvelle structure vient de lever plusieurs dizaines de millions d’euros auprès de Pathé, M6, CMA Médias et de ‘family offices’”, comme le détaillent nos confrères.

“Je me réjouis de réunir dans ce tour de table des acteurs dont l’ambition dans le cinéma est galvanisante. (...) Il y a un besoin de groupes européens ambitieux, capables de financer des films à fort potentiel international dont le budget oscille entre 20 et 80 millions d’euros”, ajoute celui qui a parlé de sa relation parfois complexe avec Carole Bouquet. Pour ce projet particulièrement ambitieux, Dimitri Rassam “ne cache pas s’inspirer du fonctionnement des Américains Legendary, à l’origine de la saga Dune, et Media ­Rights Capital,  ou ‘de la grande époque d’EuropaCorp’ de Luc Besson”. Avec cette nouvelle structure, dont il a fait la promotion sur son compte Instagram, le producteur de 43 ans et sa plateforme Yapluka permettront de financer “de trois à quatre films d’ambition européenne par an”. 

Un nouveau projet de grande ampleur pour Dimitri Rassam, qui compte bien s’imposer comme un acteur majeur du cinéma européen.