Y avait-il de la magie dans l'air sur le tournage d'Harry Potter ? Très certainement si l'on en croit les récentes déclarations de l'une des trois stars principales, Rupert Grint. Interrogé par Entertainment Tonight, l'interprète de Ron Weasley a expliqué que s'il avait été en couple fictif avec Hermione, le coeur d'Emma Watson battait pour une autre personne de l'équipe : Tom Felton, qui incarnait l'ignoble Draco Malefoy. "Il y a toujours eu quelque chose entre eux, précise-t-il. Il y avait une sorte d'étincelle."
Nous étions des enfants
Tout le monde se souvient pourtant que leurs rôles étaient diamétralement opposés. L'une faisait partie de la fière maison Gryffondor, tandis que l'autre travaillait en silence, pour celui-dont-on-ne-prononce-pas-le-nom, depuis les dortoirs de Serpentard. Dans le troisième volet de la saga, Harry Potter et le Prisonnier d'Azkaban, Emma Watson partageait d'ailleurs une scène culte avec Tom Felton, où celle-ci lui assénait un violent coup de poing dans la figure. "Nous étions des enfants, poursuit Rupert Grint. C'était un peu comme une romance de bac à sable."
Ces déclarations font suite à celles de Tom Felton, qui réagissait lui-même au fait qu'Emma Watson se considérait comme heureuse "en couple avec elle-même". "J'aime ce concept, s'est enthousiasmé le comédien de 32 ans auprès du Mail Online. C'est la première fois que j'en entends parler, mais c'est génial. Je fais partie de la même catégorie, pour être honnête avec vous, épanoui célibataire. Je pense que, de nos jours, ce n'est plus une nécessité d'être en couple juste pour être en couple." Serait-ce un petit clin d'oeil à son amourette d'enfance ?
Espérons que non. Si Emma Watson raconte à qui veut l'entendre qu'elle est heureuse en solo, elle a été aperçue à plusieurs reprises en train d'embrasser le même mystérieux jeune homme. "Je n'ai jamais cru en ce genre de discours, détaillait-elle auprès du magazine Vogue. Ça m'a pris beaucoup de temps, mais je suis vraiment heureuse maintenant. J'appelle ça être son propre partenaire." Et son nouveau compagnon, c'est un "patronus", peut-être ?