Nouvel épisode de notre chronique qui nous donne un sérieux coup de vieux, le Flashback. Ici nous fouillons le passé trouble des stars d'aujourd'hui et ressortons des images qu'elles souhaiteraient voir disparaître à jamais... ou pas !
Après la semaine des mannequins, nous débutons ce lundi avec une actrice. Une des drôles de dames de Charlie, et non ce n'est pas Cameron Diaz (déjà fait !), ni Lucy Liu (à faire !). Il s'agit donc de la belle Drew Barrymore !
Drew Barrymore a débuté sa carrière dès l'enfance, et s'est donc très vite retrouvée sous les projecteurs. Issue d'une famille d'acteurs qui aura inspiré une pièce de théâtre à Brodway, The Royal Family, elle obtient un premier rôle à l'âge de 5 ans, dans le film de science-fiction nominé aux Oscars et aux Golden Globes Au-Dela Du Réel. Mais c'est en 1982 qu'elle devient mondialement connue : sous la direction de son parrain Steven Spielberg, elle joue Gertie dans le film E.T. L'Extraterrestre. Alors âgée de seulement 7 ans, Drew entre dans le cercle fermé des enfants stars d'Hollywood. Une exposition médiatique très précoce qui fut la cause de ses problèmes d'addiction à la drogue et l'alcool : à 9 ans elle fume, à 11 ans elle boit, et à 13 ans elle prend de la cocaïne. Une chute pour l'enfant chérie des Etats-Unis, partie en centre de désintoxication, sortie guérie, puis revenue après une tentative de suicide à 14 ans.
A 15 ans, elle décrit cette sombre période de sa vie dans une autobiographie qu'elle intitule Little Lost Girl, comprenez La Petite Fille Perdue. Un titre plutôt bien choisi dans le cas présent...
De ses couv les plus kitsch aux plus glamour, son parcours se termine comme dans les contes de fées : tout est bien qui finit bien. C'est bien simple, Drew Barrymore est un véritable caméléon.
Aujourd'hui, Drew est une femme accomplie, femme d'affaires et égérie de Neiman Marcus, qui a laissé tout ses problèmes loin derrière elle. Actrice et productrice, la Californienne de 36 ans est en couple avec Will Kopelman, fils de l'ancien PDG de Chanel Arie Kopelman.