Guillaume Hoarau et Ludovic Giuly dans la peau de gangsters des années 70 !

La semaine s'annonce décisive pour les joueurs du Paris-Saint-Germain. Après une saison bien menée (ils sont dans la course au titre et toujours en lice en Coupe de France et en Europa League), la déception de dimanche face à Montpellier (2-2 après avoir mené 2-0) aura-t-elle laissé des traces ? Nous le saurons très prochainement, puisque les joueurs de la capitale vont recevoir dès demain le Benfica Lisbonne en 1/8e de finale retour de l'Europa League (défaite 2-1 à l'aller) avant de se rendre au Stade Vélodrome dimanche pour le clasico OM/PSG.

Mais cet agenda chargé n'empêche pas les stars du club parisien de diversifier leurs activités. Ainsi, nous les retrouvons aujourd'hui dans la peau de gangsters des années 1970 en couverture du nouveau numéro du magazine Surface.

A l'intérieur du mensuel, c'est une interview croisée des trois grands artisans du renouveau du Paris-Saint-Germain - Guillaume Hoarau, Nenê et Ludovic Giuly -, qui nous est proposée. À l'aube du choc contre l'OM, les joueurs nous emmènent au coeur du groupe parisien. Dans les colonnes de Surface, ils se sont montrés plus soudés et solidaires que jamais. De bonne augure pour la suite de la compétition...

Extraits de l'interview :
"Diawara ? Ce n'est pas mon pote. C'est un défenseur comme les autres..." Nenê (le défenseur marseillais s'était un peu essuyé les pieds sur l'attaquant parisien lors du match aller remporté par le PSG 2-1)
"Marseille est une équipe qui fait peur..." G. Hoarau
"Pendant les six mois où tout le monde parlait de moi, j'aurais très bien pu rester sur mes acquis. Mais je garde les pieds sur terre. Si j'avais été jeune, j'aurais certainement été perdu avec tout ça !" Nenê
"En équipe de France, ce qu'il me manque ça serait un petit but. Je suis novice et je n'ai encore rien montré au niveau international." G. Hoarau
"Sessegnon n'aurait pas dû s'inquiéter pour son temps de jeu..." L. Giuly

Avec également au sommaire de ce numéro...

Mais aussi des portraits...
Nikola Karabatic et Michaël Guigou.
Rencontre avec deux piliers du handball français, acteurs décisifs de la finale victorieuse du dernier mondial.
"Ça nous fait chier de voir que France Télévisions ne nous passe qu'en finale. (...) Daniel Bilalian dit qu'on devrait déjà être contents d'être diffusés pour la finale, et que nous râlons... Ça fait peur quand même !" N.Karabatic
"On passe pour des pleureuses ! Après, ils nous assurent qu'ils veulent développer le handball au niveau national..." M.Guigou
Moussa Sow.
Actuel meilleur buteur de Ligue 1, le Lillois ne compte pas s'arrêter là.
"J'aime bien Arsenal. J'aime le championnat anglais. C'est vrai que je me verrais bien là-bas..."
Kader Mangane.
Sans langue de bois, le capitaine rennais revient sur la montée en puissance du club breton et sur son engagement personnel, parfois excessif...
"La blessure de Jonathan Lacourt, j'y pense tous les jours, ça restera toujours en moi."
Arnaud Montebourg.
Candidat déclaré aux primaires du PS, le député a lui aussi un avis bien tranché sur le foot.
"Avec Domenech, les dirigeants de la FFF sont restés sur leur credo : "On ne change pas un entraîneur qui échoue". Ça me fait penser au Parti Socialiste : on reconduit tous ceux qui perdent."

De la mode avec Marco Simone...
Le temps d'une série mode, l'ancien attaquant du Milan AC et du PSG revisite l'Italie des années 50 et endosse le rôle de personnages et d'acteurs mythiques qui ont marqué le septième art.

Tout ça, c'est ce mois-ci dans Surface !