L'amour est dans le pré 2016: Coup de foudre et premières rivalités chez Bernard

Troisième soirée de L'amour est dans le pré 2016 ce lundi 25 juillet 2016, sur M6. Et quelle soirée ! Cette semaine, les téléspectateurs ont retrouvé le beau Bernard le Pyrénéen, Didier, Marianne, Sébastien et Jean-Paul pour les speed dating et les premiers moments à la ferme. L'occasion d'assister à de nombreux coups de coeur.

Bernard le Pyrénéen était le premier agriculteur à se prêter au jeu des speed dating. Et le céréalier de 60 ans, qui réside en région Languedoc-Roussillon, a commencé en beauté avec sa prétendante coup de coeur lors de l'ouverture des courriers : Michelle, une commerciale âgée de 58 ans. Un coup de coeur qui s'est confirmé au fur et à mesure de leur discussion. Et l'alchimie entre Bernard et la jolie brune était telle qu'ils ont eu bien du mal à se quitter. Après avoir fait remarquer qu'un homme lui avait fait un signe pour demander à sa prétendante de quitter la pièce, Bernard a lancé : "Je commence à le haïr." Michelle aussi a eu bien du mal à le laisser au bras de ses rivales et à se remettre de ses émotions : "Je suis trop émue."

Bernard a ensuite enchaîné les rencontres avec ses autres prétendantes, qui l'ont inondé de compliments. Un véritable bonheur pour l'agriculteur. Mais il ne pouvait inviter que deux femmes à la ferme et c'est Nadine et Michelle qu'il a choisies pour poursuivre sa belle aventure. Et il était prêt à tout pour les chouchouter !

En préparant leurs chambres, Bernard a pris soin de déposer un bouquet de fleurs à chacune. Une attention appréciée par ses prétendantes. Est ensuite venu le moment pour Michelle de rejoindre l'agriculteur. Et on peut dire qu'elle était plus motivée que jamais pour le séduire : "Il y a quand même une petite rivalité. Je n'y vais pas pour me faire une copine." Nadine, comptable de 53 ans, avait donc une sérieuse concurrente.

Moment de gêne extrême pour Didier. Le céréalier de 52 ans, venu tout droit de Picardie, a reçu Mireille dans un premier temps, son coup de coeur lors des courriers. Sauf que très vite, un malaise s'est installé entre l'agriculteur et sa prétendante. Le premier était trop gêné et peinait à aligner deux mots d'affilée, la seconde était beaucoup trop directive, au point de poser des questions sur elle plutôt que de s'intéresser à la vie privée de l'homme pour lequel elle est venue. Pour briser la glace, Didier a donc tenté de réaliser une danse avec Mirelle. Nouvel échec puisqu'il a admis : "À chaud, elle ne va pas tenir le choc au niveau de la danse." Et les téléspectateurs n'auraient probablement pas tenu devant leur petite lucarne s'il l'avait désignée.

Heureusement, Didier était un peu plus détendu pour recevoir Nathalie et Christine, avec qui il s'est prêté à... un speed dancing. Après avoir échangé quelques mots avec ses prétendantes, il les a fait virevolter au son d'un bon rock. Un moment très apprécié par Didier au point... qu'il oublie le prénom de l'une d'entre elles. En revanche, il avait tous ses esprits lors de sa rencontre avec Géraldine, une Luxembourgeoise de 46 ans. La raison ? Elle a refusé de faire quelques pas avec lui. Mais il ne lui en a pas tenu rigueur, pour preuve, il l'a invitée chez lui, à l'instar de Géraldine, une mère au foyer de 46 ans.

Une dizaine de jours plus tard, le moment était venu. Si Didier n'a pas "prévu grand chose" niveau cuisine, ne connaissant pas leurs goûts, il a vu grand côté animation. En effet, il s'est offert... une piste de danse privée, avec une boule à facettes qui démarre au son de ses applaudissements et qui s'arrête une fois la musique terminée. Une acquisition dont il n'était pas peu fier : "La boule à facettes est comme moi. Quand il n'y a pas de musique, elle s'arrête et quand on tape des mains, elle se met en route." Kitsch, vous avez dit ?

La bonne humeur était au rendez-vous chez Didier. Une fois Géraldine et Nathalie dans sa campagne, l'agriculteur a tenté de détendre l'atmosphère en faisant quelques blagues. Après quoi, il est entré dans le vif du sujet : l'amour.

Première rencontre concluante pour Marianne, l'éleveuse de vaches allaitantes de 46 ans. Laurent a touché en plein coeur cette grande exigeante de l'amour : "C'est un beau gars et il a l'air très sympa. Je ne dis pas non." Pourtant, le prétendant a fait une belle bourde après que l'agricultrice lui a demandé s'il pourrait partager sa vie à la ferme. "Je voudrais par exemple apprendre à traire un veau", a déclaré Laurent. Ça lui arrivera probablement... quand les poules auront des dents.

Est ensuite venu le moment pour Yves, Alain et Philippe de tenter de séduire Marianne afin de décrocher leur séjour à la ferme pour conquérir son coeur. Après quoi, Marianne a annoncé son choix. Et surprise, pas de Laurent à l'horizon, ce sont Yves et Alain qui ont eu la chance de retenir l'attention de l'agricultrice.

"Le fait de savoir qu'ils vont arriver, ça me perturbe", a confié Marianne avant d'accueillir ses prétendants. Pendant ce temps, Alain (agent d'entretien de 50 ans) était à la recherche de parfaits cadeaux pour sa belle. Et c'est sur un foulard, un panier garni avec des produits du terroir, du chocolat et des fleurs qu'il a jeté son dévolu. Avec une petite "mise en beauté" pour couronner le tout. Eh oui, Alain ne s'est pas présenté pour se tourner les pouces. Il a participé à l'émission pour trouver l'amour et comptait bien repartir du tournage en couple : "Je suis un gagnant. Il n'y a pas de deuxième chance dans la vie."

Dès son arrivée, il s'est ainsi imposé face à Yves, prétendant plus timide et avec lequel Marianne a simplement parlé de la pluie et du beau temps lors de leurs retrouvailles.

Cette semaine, j'ai envie de rêver

L'éleveur de vaches laitières et allaitantes et producteur de sapins de Noël de 38 ans a été clair lors de son portrait : il ne souhaitait rencontrer que des jeunes femmes aux yeux bleus. Toujours plus exigeant, il a ensuite fait savoir, lors du speed dating, qu'il voulait voir ses prétendantes lui jeter un dernier regard avant de quitter la pièce. Malheureusement, nombreuses sont celles qui n'ont pas exaucé son souhait. Seule Alexandrine, une kinésithérapeute de 24 ans, l'a gratifié d'un dernier regard après leur bel échange. De quoi lui faire marquer des points. "Elle a un joli regard. On a beaucoup de points communs", a confié Sébastien qui, avant Alexandrine, se souciait simplement de savoir si ses prétendantes n'étaient pas déçues de le voir en vrai. En toute logique, il l'a donc conviée chez lui, au côté de Charlotte.

"Cette semaine, j'ai envie de rêver", a admis Sébastien avant l'arrivée de Charlotte (28 ans), suivie de très près par Alexandrine, un peu déçue de ne pas être la première à avoir fait son entrée dans la maison.

C'est très réservé que l'éleveur de vaches laitières s'est lancé dans l'aventure des speed dating. Pourtant, face à Jennifer, une comptable de 37 ans, Jean-Paul s'est légèrement ouvert afin d'en apprendre plus sur celle qui pourrait devenir l'élue de son coeur. Et c'est tout sourire et avec le coeur qui battait la chamade que l'agriculteur a fait face à Marie, une assistante maternelle de 35 ans qui a déjà participé à l'aventure il y a 5 ans, au côté de Loïc. Si Jean-Paul a parlé d'un "gros coup de coeur", c'est à un gros coup de foudre auquel on a eu l'impression d'assister. En toute logique, c'est donc cette dernière qu'il a invitée à passer quelques jours chez lui, en Bourgogne, tout comme Olivia.

Jean-Paul était bien décidé à mettre Olivia et Marie dans le bain dès leur arrivée en les faisant assister à la traite de ses vaches. Si on avait l'impression que Marie avait fait ça toute sa vie, Olivia était loin d'être à l'aise et a préféré quitter la salle de traite à cause des mauvaises odeurs. L'occasion pour Marie de prendre une large avance sur sa rivale !

Côté audiences, L'amour est dans le pré a permis à M6 de se hisser en tête des audiences grâce à ce nouvel épisode de la saison 11. Les deux épisodes de la soirée ont rassemblé 4,5 millions de fidèles, selon Médiamétrie. La part de marché a atteint 22,3% sur les individus de quatre ans et plus et 36% sur les femmes responsables des achats de moins de cinquante ans. Encore un succès !