Laurence Boccolini a le sourire, une pêche d'enfer et une bonne humeur à toutes épreuves. Elle la partage d'ailleurs souvent sur Instagram, pour le plus grand plaisir de ses fans. Mais en 2018, c'est un autre genre de poste que l'ancienne animatrice du Maillon Faible a révélé à ses fans sur le réseau social. À l'époque, elle avait indiqué être atteinte d'une maladie auto-immune baptisée polyarthrite rhumatoïde, touchant les articulations et se manifestant le plus souvent par des crises.
"Avant, je cachais mes mains, ce que je ne fais plus... La polyarthrite rhumatoïde peut être très violente, notamment lors des périodes de crise. Elle touche toutes les articulations et pas seulement les mains" faisait-elle savoir dans une interview accordée à Télé Loisirs. Contrairement à d'autres maladies, celle-ci n'est malheureusement pas traitable.
Laurence Boccolini avait accordé une interview au Parisien en 2020 dans laquelle elle indiquait que la maladie ne pouvait "pas vraiment se guérir" : "Je suis sous traitement, mon état n'empire pas" avait-elle néanmoins rassuré. Cette pathologie ne l'empêche. heureusement pas de travailler, même si elle est évidemment désagréable. La maladie est tellement installée que la masquer était devenu difficile.
Et c'est une autre célébrité française, elle-même touchée par une maladie contre laquelle elle ne peut pas non plus lutter, qui a encouragé Laurence Boccolini à évoquer la sienne : "Lors d'un enregistrement de Money Drop, Hélène Ségara, qui a eu un très grave problème à l'oeil, m'a vue énormément souffrir. Elle m'a dit 'Tu ne dois pas avoir honte. Parles-en, ça va te faire beaucoup de bien'. J'avais peur des réactions, mais je l'ai finalement écoutée." Un fait qu'elle ne regrette pas aujourd'hui.
Hélène Ségara s'était elle aussi expliquée sur les raisons qui l'ont poussée à faire parler Laurence Boccolini : "Elle était tout le temps sous cortisone, elle souffrait et dès que la caméra s'allume, elle a le sourire, elle est professionnelle. C'est une battante aussi. Elle a le coeur d'une sensibilité énorme." Une douleur qu'elle ne méritait donc plus de garder pour elle.