C'est avec un plaisir non dissimulé que Laury Thilleman a pu entamer ses vacances il y a plusieurs semaines avec son mari Juan Arbelaez. Au programme : un road trip en France à bord d'un van dans lequel rien n'a été laissé au hasard. Sur sa route, le couple s'est arrêté en Bretagne avant de rejoindre les côtés de La Rochelle, du Cap Ferret en enfin de Biarritz. Le point commun de toutes ces villes ? Il s'agit de très bons spots de surf. Une aubaine pour Laury Thilleman qui est une passionnée de ce sport depuis toujours.
Alors, lorsqu'il est temps de rentrer, les adieux avec la nature et son mode de vie estival s'annoncent compliqués. Via sa story Instagram lundi 17 août 2020, Laury Thilleman a ainsi fait le point sur ses vacances avec nostalgie en postant une série de photos souvenir. Parmi elles, on a pu constater que la jolie brune de 29 ans s'était sacrément blessée en tentant de dompter les vagues de l'océan. En effet, elle a dévoilé sa jambe marquée par une sévère coupure encore rougie comme vous pouvez le découvrir dans notre diaporama. Mais pas de quoi s'inquiéter pour l'ancienne Miss France, qui accueille cette cicatrice avec le sourire.
En plus de s'offrir des sessions ultra sportives, Laury Thilleman a contribué au bien-être de la planète. Avec ses amis, son mari et une brochette d'anonymes, elle a sillonné les plages pour un grand nettoyage. Il faut dire que depuis toujours, elle s'engage à agir pour sensibiliser les gens aux conséquences de leurs actions, notamment avec Surfrider Foundation, dont elle est la marraine. Avec le confinement, Laury espère désormais que les consciences se sont éveillées. "Je vais continuer d'autant plus à porter ces messages. J'espère juste que l'activité ne reprendra pas aussi vite qu'elle s'est arrêtée, car on irait droit dans le mur, que l'on prendra son temps avant de voyager loin en avion, avant de commander du made in China, que l'on s'appliquera à freiner quelques activités. Et cela commence pour moi par apprendre à ralentir un peu nos gestes", confiait-elle lors d'une interview pour FémininBio.