Contre toute attente, Mathieu et Alexandre de L'amour est dans le pré (2020) ont annoncé leur rupture au bout de deux ans d'amour et une année de mariage seulement. "À un moment, Alexandre a eu du mal à trouver sa place. Je crois qu'il avait besoin d'une vie plus tranquille, moins turbulente. Il avait envie d'être stable, une vie plus classique", avait expliqué l'éleveur de taureaux en Camargue, précisant être resté en très bons termes avec son ex. La nouvelle fut d'autant plus étonnante que le couple avait entamé des démarches pour devenir parents et, récemment, c'est en Colombie que s'est envolé Mathieu pour rencontrer une mère porteuse. Et ce projet, il a décidé de le continuer seul.
Malheureusement, tout ne se passe pas comme prévu. Ce vendredi 23 septembre, Mathieu a fait de tristes révélations en story Instagram. Sa GPA se retrouve menacée par la maladie génétique dont il souffre, la maladie de Cadasil. "La GPA : ascenseur émotionnel... Tous les jours ne sont pas de bons jours. Vous savez donc que j'ai cette maladie, qui est une maladie génétique. Et la clinique sur place m'a demandé un échantillon de sang de mes parents et de moi. Ils vont m'envoyer des kits ici. Il faut que je les trouve, que je les renvoie ou que je les amène en Espagne. Et ils m'ont surtout demandé un échantillon de sang de mon papa. Sauf que mon papa est décédé en septembre. C'est compliqué", a-t-il confié.
Mathieu s'est donc rapproché de spécialistes pour l'aider à traiter au mieux le problème. "L'idée, comme il n'y a plus mon papa, c'est qu'eux connaissant tout le génome parfait de la maladie, ils puissent communiquer entre les généticiens de la Colombie et les généticiens français sur la façon de repérer le gêne malade dans les futurs embryons pour éviter que mon enfant, fille ou garçon, soit porteur de la maladie", a-t-il détaillé. Résultat : "Ça va prendre beaucoup, beaucoup plus de temps". La déception est alors forcement grande pour l'agriculteur. "En plus d'être une expérience dont tous les mamans, papas, pourront témoigner comme un ascenseur émotionnel. Quand vous avez une maladie rare, c'est encore plus compliqué. On rajoute du compliqué au compliqué", a-t-il regretté.